Pauline
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hplusag,
vacances,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
init,
prememois,
fbi,
Auteur: Azkinato, Source: Revebebe
... lança-t-elle pour me narguer.
— Rhabille-toi, sinon je te donne une fessée comme quand tu étais petite.
— Chiche !
J’étais déconcerté, et ne savais plus quoi faire. Je pris le parti de lui tourner le dos et de partir dans ma chambre. Le lendemain, j’étais bien décidé à lui faire une leçon de morale. À peine eussé-je commencé à lui parler qu’elle me répondit :
— J’ai 18 ans, et j’ai le droit de faire tout ce que je veux.
— Comme te promener toute nue, par exemple ?
— Tout à fait ; et même faire l’amour avec toi.
Le ciel me tombait sur la tête… « ma fille » qui voulait faire l’amour avec moi ! Avant que je n’aie eu le temps de reprendre conscience, elle m’expliqua que depuis plusieurs années elle était tombée amoureuse de moi. Elle n’avait pas de petits copains, et voulait absolument m’offrir sa virginité. Je compris dans ses propos qu’elle était bien déterminée. J’aurais dû la ramener immédiatement chez ses parents et tout leur expliquer. Au lieu de cela, je pensai qu’en restant, j’aurais toute la semaine pour lui faire entendre raison.
Chaque minute que nous passions ensemble, je lui expliquais que cela n’était pas possible, ainsi que les différentes raisons : nos relations, celles avec ses parents, notre différence d’âge, et tout ce qui pourrait la dissuader de mener à bien son entreprise. Je mis quatre jours sans répit pour lui faire entendre raison.
Ce n’est pas pour autant qu’elle ne se promenait plus nue dans la maison. Elle avait même décidé son amie ...
... à adopter la même tenue qu’elle. Elles ne quittaient jamais la maison, et j’avais constamment sous les yeux deux charmantes jeunes filles qui m’exposaient leurs magnifiques attributs. Je dois avouer que je n’y étais pas indifférent, surtout qu’elles adoptaient des attitudes plus qu’équivoques. Lorsque je sentais la tension qui montait trop, j’allais prendre une douche bien froide pour me calmer.
Le cinquième jour, j’avais gagné : au lieu de rester là à se pavaner nues, les deux amies sont parties l’après-midi faire du shopping. Elle avait compris, et nos relations sont rapidement revenues comme avant.
Ce soir-là, elle m’annonça :
— J’ai acheté du champagne, et je l’ai mis au frais. On le boira demain soir pour fêter mon anniversaire ensemble.
Le lendemain, hormis le fait qu’elle et Charlotte étaient toujours seins nus, la tension était bel et bien retombée. C’est avec grand plaisir que j’acceptai de fêter une deuxième fois sa majorité toute récente.
Pauline décida de boire dehors sur la pelouse où nous avions l’habitude de bronzer. Il n’y avait pas de table, mais elle trouvait que c’était plus sympa de boire le champagne sur une couverture, « comme si on pique-niquait. » Quand Pauline veut, Pauline obtient.
Après la première bouteille bue, j’étais déjà un peu pompette ; je ne buvais que très rarement. Pauline envoya Charlotte chercher la deuxième. Je lui fis remarquer qu’une bouteille, c’était suffisant.
— Oh, parrain, on n’a pas tous les jours dix-huit ...