1. Pauline


    Datte: 24/01/2018, Catégories: ff, ffh, hplusag, vacances, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral init, prememois, fbi, Auteur: Azkinato, Source: Revebebe

    Je connaissais Pauline depuis sa naissance : elle était la fille de Claude et Claudette, mes meilleurs amis ; et qui plus est, elle était ma filleule. Avec son père, nous étions les meilleurs amis depuis notre enfance. À son mariage, j’étais son témoin, et lorsque Pauline est née, il m’a naturellement choisi comme parrain.
    
    Célibataire endurci et sans enfants, j’ai toujours considéré et gâté celle-ci comme ma propre fille. N’ayant pas les véritables préoccupations d’un père naturel, mes rencontres avec Pauline étaient toujours gage d’amusement. Je servais même de nounou lorsque ses parents voulaient un peu de tranquillité, ou lorsqu’ils devaient sortir et qu’ils ne pouvaient pas l’emmener avec eux.
    
    Plus tard, vers l’âge de 15-16 ans, elle passait même des week-ends entiers chez moi avec son amie Charlotte. Il faut dire que j’étais plus « cool », comme disait Pauline, « que mes parents. ». Avec moi, elles pouvaient fumer – avec modération, naturellement – une ou deux cigarettes le samedi soir, et elles avaient également le droit de boire quelques bières. Je sais que ce n’était pas très bien de ma part, mais Pauline pouvait me demander ce qu’elle voulait, et elle le savait. Depuis toute petite, lorsque je lui refusais quelque chose (un bonbon, une glace, un jouet ou je ne sais quoi), elle venait vers moi avec son air d’enfant martyr, et me disait :
    
    — Parrain Joachim, tu n’es pas gentil avec moi. « Je t’aime pu ! ».
    
    Cela suffisait pour que je fonde et que j’accepte ...
    ... tout ce qu’elle voulait.
    
    Cela a changé l’année de ses 18 ans. Nous étions partis en vacances avec ses parents, dans ma résidence secondaire au bord de la mer. Charlotte était naturellement du voyage. Nous avions fêté les 18 ans de Pauline pendant ces vacances. Comme Claude et Claudette reprenaient le travail une semaine avant moi, ils étaient repartis le vendredi après-midi, et les deux filles étaient restées avec moi pour cette dernière semaine. L’attitude de ma filleule changea du tout au tout dès le départ de ses parents. Chose qu’elle n’avait jamais faite en ma présence, elle n’hésita pas à retirer le haut de son maillot de bain et à se promener seins nus ; son amie suivit le mouvement. Le soir même, je lui en avais fait la remarque.
    
    — Tu sais, Pauline, ta tenue n’est pas très bien ; on pourrait te voir.
    — Tu rigoles, parrain ; les premières maisons sont à plus de 500 mètres d’ici. Et puis toi, tu m’a déjà vue nue.
    — C’est vrai ; mais la dernière fois, tu devais avoir 3 ou 4 ans.
    — Et alors, tu n’as jamais vu de seins ?
    — Si, mais là n’est pas la question. Tu devrais t’habiller un peu plus.
    
    Elle lança lors sa célèbre réplique :
    
    — Parrain Joachim, tu n’es pas gentil avec moi. « Je t’aime pu ! »
    
    Cette fois, j’étais résolu à ne pas accepter.
    
    — Peut-être ; mais tu ne devrais tout de même pas te promener comme ça.
    
    En un rien de temps, elle retira le bas de son maillot, pour se retrouver entièrement nue face à moi.
    
    — Et comme ça, c’est mieux ? me ...
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