1. À la merci de Lionel pour un soir.


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    ... ça.
    
    Lorsque je suis entièrement rempli de son sperme chaud, Lionel se retire, me crache sur les fesses et se lève.
    
    Même après avoir déversé autant de jus, sa queue encore à demi gonflée reste énorme.
    
    Il s’éloigne, je souffle un peu, pourtant je reste cambré, le cul tendu en l’air.
    
    Lionel fait volte-face, il a le regard dur. Il se précipite vers moi, attrape mon collier au niveau de la nuque pour le lever, et se lance dans une fessée endiablée. Les claques pleuvent, une, deux, trois… sept… dix… quinze.
    
    Il n’y va pas de main morte, je crie, je le supplie.
    
    Lorsqu’enfin il s’arrête, j’ai finalement le droit à une explication :
    
    - Ça dégouline de ton cul. Je ne t’avais pas autorisé à recracher mon sperme à ce que je sache, petit salope.
    
    Je me confonds en excuses :
    
    - Je suis vraiment désolé, Maître. Pitié, pardonnez-moi. Je suis désolé.
    
    Il me redresse en tirant sur le collier et m’ordonne d’ouvrir la bouche, puis crache dedans.
    
    - Tu vas me nettoyer ça. Et ensuite tu iras faire les vitres.
    
    Ni une, ni deux, je me mets à quatre pattes et nettoie à la langue le sperme qui a coulé.
    
    Lorsqu’il estime que c’est propre, il me tend le produit à vitres et un chiffon.
    
    Je m’attelle à la tâche pendant qu’il s’installe tranquillement dans son fauteuil pour mater.
    
    En espérant que personne ne me voit de l’autre côté de la fenêtre, je nettoie en cambrant bien mon cul pour lui offrir un agréable spectacle.
    
    - T’es une bonne petite salope. Je suis fier de toi. Je vais te garder pour la nuit.
    
    Ravi, je réponds :
    
    - Merci beaucoup, Maître.
    
    Puis il se lève, vient vers moi, et m’envoie une claque sur les fesses avant de les agripper. Je comprends alors qu’il est déjà prêt à remettre le couvert, et que la nuit va être longue.
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