1. À la merci de Lionel pour un soir.


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    Tout a été très vite. J'étais de passage à Nice, j'ai mis une annonce sur Internet en expliquant que je cherchais un mec bien membré pour me remettre à ma place.
    
    J'ai eu pas mal de réponse, mais celle qui m'a scotché, c'est celle de Lionel.
    
    Les photos parlent d'elles même : un grand black d'un mètre quatre-vingt, tranquillement étendu au soleil. Sa musculature à faire pâlir de jalousie n'importe quel athlète m'a fait trépigner devant mon écran. Dans sa gigantesque paluche, un sexe bandé d'au moins vingt-cinq centimètres, facile. L'une des photos dévoile le bas de son visage, ses lèvres pulpeuse, son menton carré, un vrai mâle.
    
    Il m'explique qu'il ne cherche qu'une histoire d'un soir, que mon annonce et mes photos lui ont bien plu, et que si je suis prêt à me plier à ses conditions, il est d'accord pour me donner la correction que je mérite.
    
    Je le chauffe à fond. Je lui dis que je ferai tout ce qu'il voudra, que je serai docile, que j'obéirai au doigt et à l’œil.
    
    Il me répond que ça lui convient. Qu'il a quelques accessoires et qu'il a l'intention de s'en servir sur moi, donc si ça me dérange il faut que je lui dise tout de suite.
    
    Ça ne me dérange absolument pas, je suis bien trop chauffé.
    
    Pendant toute la semaine on se chauffe par message. Je fais la pute.
    
    Le jour venu, je me pointe à son appart. Il m'ouvre torse nu, seulement vêtu d'un caleçon.
    
    Je le mate de haut en bas, et me jette à son cou. Pas de temps à perdre, je lui roule une grosse pelle. ...
    ... Ses lèvres sont sucrées, un vrai régal.
    
    Aussitôt, il m'attrape par la nuque et me détache de son corps.
    
    - T'as pas bien compris ce que je t'ai dit par texto ? Ici c'est moi qui décide. Toi tu es juste ma petite pute, pigé ?
    
    Je le regarde une seconde, interloqué.
    
    - Euh oui, pardon.
    
    Il m'envoie une grande gifle.
    
    - Pardon qui ?
    
    Je réfléchis une seconde. Il ne rigolait vraiment pas en me chauffant.
    
    - Pardon Maître.
    
    - Bien. Fous-toi à poil et enfile ce collier. Il te rappellera que t'es ma petite pute.
    
    Je m'exécute et passe le collier de cuir orné d'un anneau de fer qu'il me tend.
    
    Ça y est, c'est fait : je suis sa "petite pute."
    
    Lorsque j'ai fini, il me lance sèchement :
    
    - Montre-moi ton petit trou, je vais préparer le terrain.
    
    Trop content d’obéir à cet apollon à la peau de jais, plaque mon visage au sol et lève le cul pour lui dévoiler mon anus.
    
    Il écarte mes fesses et me crache sur le trou, puis enfonce un plug qu'il fait jouer un peu en moi.
    
    Je gémis de plaisir.
    
    - Ben alors ? Tu commences déjà à couiner ? Il va falloir t’y faire sinon tu risques de passer un sale quart d’heure.
    
    - Je suis désolé, Maître.
    
    Il m’empoigne par le collier et me redresse, tout en m’enjoignant de laisser les genoux à terre, puis m’ouvre la bouche et crache dedans.
    
    - N’avale surtout pas, pigé ?
    
    Je marmonne comme je peux avec sa salive dans la bouche :
    
    - Oui, Maître.
    
    Il rit, prend une paire de pinces à seins reliées par une chaînette et ...
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