1. À la merci de Lionel pour un soir.


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    ... me les colle sur les tétons.
    
    - Tu vas me sucer, et t’as intérêt à bien le faire. Mets tes mains dans ton dos.
    
    À peine t-il fini sa phrase qu’il retire son caleçon et me fourre sa bite dans la bouche, en faisant bien attention à faire passer la chaînette des pinces par dessus pour la tendre.
    
    Même à demi-molle, elle ne rentre qu’à peine.
    
    Il me baise la bouche comme ça pendant un bon quart d’heure. J’essaye d’activer ma langue sur sa queue pour la stimuler et renforcer son excitation, et tente tant bien que mal de ne pas m’étouffer sur ce copieux repas.
    
    Chaque coup de bassin de sa part tire brutalement sur la chaînette dont dépendent mes seins, et m’arrache un petit couinement de douleur.
    
    Je sens son sexe durcir en moi. Et plus il durcit, plus il tape au fond de ma gorge.
    
    Et puis, une fois bien dur, sans crier gare, il m’attrape par le collier, me lève, me plaque le torse au mur et remplace le plug dans mon anus par son énorme sexe.
    
    La pénétration se fait laborieuse au début. Lionel m’arrache quelques gémissements qu’il fait immédiatement taire en fourrant son énorme main dans ma bouche. De l’autre, il me maintient les bras dans le dos.
    
    Il s’enfonce en moi lentement, mais vigoureusement, sans jamais marquer de pause.
    
    Lorsqu’il est entièrement entré, il amorce la sortie. Là encore, il procède très lentement.
    
    Il ressort complètement, et caresse mon trou avec son gland. J’en frissonne.
    
    Il continue à me titiller, comme pour exciter mon ...
    ... désir.
    
    Puis il revient à l’assaut. Plus vite cette fois. Il entre, se retire, mais ne sort pas complètement cette fois.
    
    Et une troisième fois, plus vite encore.
    
    Et en un claquement de doigt, il se retrouve à me pilonner en me bombardant les fesses de claques.
    
    Il semble ne jamais devoir s’arrêter. Pourtant je sens que son corps comme le mien deviennent moites sous l’effort.
    
    Ses coups de butoir vont crescendo, et à chacun de ses assauts, mon corps cogne contre le mur, et la chaînette des pinces sur mes seins ballotte, ne rendant la torture que plus délicieuse.
    
    Il me fait descendre le long du mur et me plaque torse contre sol, le cul tendu en l’air. J’ai toujours les mains dans le dos mais il ne les maintient plus. Ses mains sont posées sur mes fesses. Non. Pas posées. Agrippées. Ses énormes paluches couvrent toute l’envergure de fesses. Une main par fesse. Et ses doigts s’enfoncent dans ma chair.
    
    Il ne ralentit toujours pas. C’est même le contraire. Il est violent, primitif.
    
    Soudain, il s’arrête net et pousse un puissant râle tout droit sorti de son puissant torse.
    
    Un battement.
    
    Puis je sens le geyser sortir de son sexe pour me remplir complètement.
    
    Je hurle de plaisir. Lionel m’envoie une gigantesque claque sur la fesse droite :
    
    - Ta gueule ! Laisse-moi jouir en paix !
    
    Cela dure plusieurs dizaines de seconde. Et à chaque fois que je pense que c’est terminé, il en remet une couche. Impossible de comprendre où il trouve la place de stocker tout ...