1. Mauricette aime la quéquette 3 (3)


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    ... de ma taille.
    
    Elle s’exécuta. Enroulant ses jambes pour s’arrimer à ma hanche. Dans un élan irrépressible, je la plaquai contre moi. Nous étions debout, face à face. Elle me regardait dans les yeux. Juliette mouillait abondamment. Tant et si bien que je sentais ma verge baignait dans son jus. Me tenant par la nuque, elle se mit à onduler d’avant en arrière contre moi. Poignardant son sexe avec ma verge dure.
    
    — Oh que c’est bon comme ça ! Fit-elle.
    
    Sa voix avait pris des accents rauques que je ne lui connaissais pas. Emboîté l’un dans l’autre, je sortais de la salle de bain pour me rendre jusqu’à la chambre de sa mère. Une fois sur place je me positionnais juste en face du grand miroir accroché au mur et qui surplombait le lit. Je m’enivrai du reflet qui nous renvoyer.
    
    Tout en se regardant dans la glace, elle se mit de nouveau en mouvement. D’avant en arrière dans un rythme lent. Ma queue enflammée n’avait pas connu pareil bonheur depuis si longtemps. Elle allait et venait sans relâche. À un moment je l’avais immobilisée pour lui envoyer avec férocité une série de coups de reins plus rapides et plus brutaux, qui redonnait à ma jeune partenaire assez de voix pour exprimer sa vive émotion.
    
    — Tu prends la pilule ?
    
    — Oui... t’inquiète inonde moi de ton sperme.
    
    Il ...
    ... ne m’en fallait pas plus pour me déchaîner sans aucune retenue. Je lui agrippais les fesses comme un sauvage, à lui faire mal. Et je la pris aussi fort que je le pouvais. Faisant pénétrer ma queue au plus profond de sa chatte. À un rythme effréné. C’était bon et bestial. Son visage était noyé de sueur. La bouche tordue par le plaisir. Elle jouissait une autre fois. Je sentais un liquide chaud enrober ma queue qui continuait à la besogner. Faisant vibrer tout son corps. Ses cris se mouraient en râles. Son vagin comprimait ma queue, qui glissait dans une écume poisseuse.
    
    — Oh Alain... tu vas me tuer...
    
    Je mouillais mon index de salive, et l’appuyais sur la pastille froncée de l’anus. L’anneau s’ouvrit de lui-même, engloutissant mon doigt.
    
    Peu à peu je me rapprocher de la jouissance, me laissant envahir par cette sensation extraordinaire qui grandissait en moi. Un picotement, qu’il allait se transformer très vite en tornade lorsque le plaisir arrivera. Je sentais que le point de non-retour s’approcher. J’avais une fois de plus augmenté la cadence de mes coups de butoir, jusqu’à éjaculais avec force au fond de son fourreau affamé.
    
    Je l’avais ensuite, ramené jusqu’à sa chambre, où je l’avais déposée sur le lit avant de trouver un endroit pour permettre de reprendre vie... 
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