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Mauricette aime la quéquette 3 (3)
Datte: 25/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory
... recouvraient le haut de sa fente d’une fourrure bestiale qui masquait son clitoris. — Tu as une belle chatte, Juliette, j’aime beaucoup les filles poilues comme toi. En plus tu es brune, c’est bandant. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà elle laissa tomber le rideau. — Terminé... — Tu ne te rases jamais sous les bras non plus ? — Non, il paraît, enfin j’ai lu cela sur le Web que les hommes trouvent cela excitant. Elle avait montré ma queue d’un doigt. — A toi maintenant... Pour ce faire je me défroquais, puis baissais le slip déformé par mon érection. Ma queue bandée jaillit comme montée sur un ressort pour le plus plaisir de Juliette. — Houais... Putain ! Quel morceau... fit-elle les yeux grands ouverts. — Elle te plaît ? Elle resta sans voix, fixant ma chose. — Tu peux la caresser, tu sais... Tu sembles en avoir tellement envie. — Ah oui ! Riposta-t-elle en tendant timidement sa main. Je lui pris doucement le poignet et l’attirais vers mon membre. Qu’elle referma d’elle-même ses doigts autour. Mon pouls se mit à battre follement. Elle imprimant à son poignet un va-et-vient lent. Se mordillant nerveusement sa lèvre inférieure. Ses seins sous son tee-shirt tressautaient sous les oscillations régulières de son bras. Elle avait les yeux brillants. Le rouge aux joues. Je savais bien que c’était une folie mais je ne pouvais me résigner de stopper ce qui se dérouler. Car il n’y avait aucun doute quant au fait que je vivais ...
... actuellement l’expérience sexuelle la plus incroyable de toute ma vie. Jamais je n’avais été autant excité et jamais je n’avais autant désiré jouir. C’était presque devenu vital. Il fallait que j’aie un orgasme maintenant. Je sentais qu’il serait mémorable. Comme je n’avais pas envie de succomber de par sa main, je la fis s’agenouiller devant ma verge dure comme du granit. Je lui saisis la tête d’une main et de l’autre promenais ma queue sur son visage. La frottant sur son nez, contre sa bouche. J’étais dans un tel état d’euphorie, qu’il était difficile pour moi de ne pas forcer l’entrée de ses lèvres. Elle m’avala entièrement. Sa langue tiède et mouillée s’activait si gauchement autour de ma queue que je n’avais pas pu résister à l’envie de lui faire la remarque : — Tu n’as jamais sucé ? La plus extrême confusion se lut sur le visage de Juliette. Je l’aurais pourtant imaginée plus émancipée. En quelques mots brefs, je lui donnai les fondamentaux pour mener à bien un homme à la petite mort. Elle passait la langue autour du gland. Le suçotant un moment. Elle enduit ma verge de salive, tout en me pressant doucement les testicules. Puis les lécha. Les prenant chacun leur tour dans sa bouche. Elle y mettait beaucoup de bonne volonté. Elle méritait une offrande. Pour ce faire, j’immobilisais sa tête entre mes mains et me mis à donner de furieux coups de reins. Contre toute attente, la coquine resserrait les lèvres sur ma verge. J’avais baisé sa bouche comme je l‘aurai fait ...