1. Mauricette aime la quéquette 3 (3)


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    Le samedi matin toute la smala arriva. Ce fut d’abord le patron. Puis sa fille Laure avec ses enfants, et son époux. Et enfin l’autre fille Irène accompagnée de ses enfants mais pas de son mari. À chacune des arrivées je me devais de monter les bagages à leurs chambres respectifs.
    
    Une fois cette opération effectuée j’allais rendre une petite à Mauricette. Comme à son habitude quand le temps était clément elle se tenait sur sa terrasse. À peine arrivée, elle m’évoqua la mésaventure de son mari. Survenue lors de notre relation téléphonique.
    
    — Oui, fis-je. J’avais bien entendu qu’une femme avait fait irruption dans la chambre.
    
    — Il paraît qu’il ne savait plus où se mettre.
    
    — Se faire surprendre bite dans sa main par sa mère cela ne doit vraiment pas mettre à l’aise.
    
    — Non ! Je te le certifie... répliqua-t-elle en pouffant de rire. Je te sers un café ?
    
    — Avec plaisir. Je pense qu’avec cela il a dû changer ses plans ? M’informais-je.
    
    — Oui, il devrait rentrer demain matin.
    
    Bien évidemment c’était loin de me satisfaire. D’ailleurs elle le lut sur mon visage.
    
    — T’inquiète ce n’est que partie remise... fit-elle en collant ses lèvres sur les miennes.
    
    L’après-midi je l’avais passé chez moi. Devant la télé. Le soir venu j’avais été fermé les volets du manoir. Et discuté un temps avec le patron. De chose et d’autre devant un verre de vin. Son épouse était sagement assise à ses côtés. Discrète, l‘air pensif. Loin de la femme sulfureuse que j’avais culbutée ...
    ... la veille. Il ne m’en fallait pas plus que des images croustillantes se bousculaient dans ma tête.
    
    Après avoir bu mon verre, je pris congé. Leur souhaitant une bonne nuit. Puis je filais rejoindre Mauricette qui m’attendait pour dîner.
    
    Le lendemain comme à chaque fois qu’il y avait du monde au manoir, je me rendais à la boulangerie. J’y trouvais Véronique. Qui comme à son habitude, s’impatientait à n’être pas encore venu visiter le domaine. Une requête qu’elle réclamait pour la énième fois, et dont je n’avais jamais honoré.
    
    — Tiens mardi cela vous va ?
    
    — Heu... j’aurais préféré lundi. La boutique est fermée ce jour-là.
    
    — C’est que je ne sais pas si les patrons seront partis ?
    
    — Et si je passe lundi après 17H00.
    
    — Oui à cette heure pas de risque qu’ils soient encore sur place. Bon c’est entendu, faisant comme ça. S’ils ne sont pas partis on improvisera
    
    Ce fut sur cet accord que je quittais la boutique avec en mains, pains et viennoiserie. L’incendie de la veille avec Mauricette avait laissé des séquelles sur ma forme de l‘instant. Surtout que j’avais mal dormi. Des rêves érotiques avaient peuplé mon sommeil toute la nuit ou presque.
    
    Par la porte de service j’entrais directement dans la cuisine et déposais le pain et les viennoiseries. Sur la table une partie des enfants déjeunaient bruyamment. Je m’affairais à ouvrir les volets. C’est le moment que choisit Laure assise devant son petit déjeuner avec les adultes dans la salle de séjour, pour interpeler ...
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