1. Comment sauver son mariage (cocu)


    Datte: 30/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... vaseuses quand il partait en déplacement, sa gêne quand je lui posais des questions, et ça m’a perturbée. C’était il y a quatre ans. Entre-temps, il avait changé de broîte mail et je n’avais plus d’accès. La nuit, il m’arrivait de pleurer de désespoir. Ne pas savoir était pire que tout, et je ne voulais surtout pas lui en parler. Alors j’ai redoublé d’efforts, lui offrant mon corps aussi souvent que possible. Je n’attendais plus qu’il demande, je le provoquais. J’avais acquis des sous-vêtements affriolants pour lui donner envie, et j’étais même allée jusqu’à utiliser quelques mots un peu grossiers pour le provoquer.
    
    Mais plutôt que de le reconquérir, j’avais l’impression de l’inquiéter. Il a fini par me demander si j’avais quelque chose à cacher, si c’était mon amant qui m’avait appris ces mots-là ou cette position inhabituelle que je lui proposais. Le monde à l’envers. C’est dans son téléphone que j’ai trouvé les réponses à mes questions. Sa conquête lui envoyait des photos d’elle nue, et même des vidéos cochonnes. C’était un « plan cul », comme disaient les jeunes. Cette fille ne pensait qu’à ça, au moins en apparence. Mais entre deux appels à la luxure, elle lui glissait adroitement des petits mots d’amour. Elle lui parlait de « plus tard », et ça, c’était encore plus insupportable que la vue de sa jolie petite gueule ou de son beau petit cul offert.
    
    J’ai passé quelques semaines douloureuses, à chercher le moyen de préserver mon couple. Au lit, je donnais tout ce ...
    ... que je pouvais, mais contre une fille de vingt ans, que voulez-vous offrir qu’elle n’ait pas ? Je me suis sentie perdue. Et finalement, c’est Roland qui sans le savoir m’a offert un début de solution. Lors d’une soirée, il m’a fait une crise de jalousie particulièrement incompréhensible parce qu’un jeune m’avait fait danser. Et plutôt que de nier, je suis rentrée dans son jeu. Non seulement je ne lui donnais pas tort, mais en plus j’allais dans son sens. Je lui ai avoué, alors que ce n’était pourtant absolument pas le cas, que j’avais été excitée par ce jeune danseur. Je lui ai avoué, puisqu’il me le demandait explicitement, que j’avais mouillé alors que nous dansions. Je lui ai avoué que s’il avait voulu que je le suive à l’extérieur pour un petit câlin, j’aurais dû me faire v******e pour refuser. Bref, je lui ai joué le miroir aux alouettes, et ça a parfaitement fonctionné. Pour la première fois, et le soir même, il m’a traitée comme une moins que rien, une fille de joie. Pour la première fois, il m’a arraché ma culotte et poussée sur le lit. Pour la première fois, il m’a ordonné de me mettre à quatre pattes et il est venu me prendre brutalement sans me demander si j’en avais envie. Pour la première fois, même, il m’a insultée. En me prenant, il n’arrêtait pas de prononcer « salope », de me dire qu’il me baisait, que j’avais un gros cul, qu’il allait me bourrer jusqu’à plus soif. J’ai été prise de nausées devant un tel assaut de vulgarité, mais en même temps, j’ai compris que ...
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