1. Giulia, une brune qui ne compte pas pour des prunes


    Datte: 28/08/2021, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, plage, jardin, noculotte, odeurs, Oral nopéné, jeu, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... que ça, prit appui sur ces mains et, soulevant son torse, surveilla la plage de manière à prévenir toute surprise d’un retour de cousin. Elle rapprocha ses talons de ses fesses de manière à s’offrir plus largement à mes investigations. Nous n’avions guère de temps ; il fallait aller à l’essentiel, son clitoris, comme celui de Manon, très réceptif.
    
    Deux doigts suffirent à la faire exploser.
    
    — Viens, dit-elle, sautant sur ses pieds et franchissant la dune.
    
    Elle m’attendait à genoux, me saisit dans sa bouche, malaxant mes testicules, insistant sur ma rosette, m’amenant rapidement à lui expulser ma semence dans sa bouche. Beaucoup de filles n’aiment pas avaler, Giulia si !
    
    Et elle me suça jusqu’à ce que la plus petite trace d’érection ait disparu.
    
    — Nous sommes quittes, maintenant, me dit-elle, ravie de cette petite fantaisie.
    
    Durant cette petite gâterie, j’étais resté face à la dune, ma tête seule en dépassant, mais cette position m’avait permis de constater que cousins et cousines étaient toujours dans l’eau.
    
    Ravi de ce bon moment je courus me mêler à leurs jeux.
    
    — La sieste est finie ? me demanda l’une d’elles ne se doutant pas de la manière dont elle s’était terminée.
    
    Les autres se moquèrent de cette sieste me disant :
    
    — On va te réveiller.
    
    Et elles me sautèrent dessus pour me faire tomber dans l’eau mais je résistai, les attrapant à mon tour, les serrant contre moi, un sein sur mon visage, un autre sur mon ventre ; le traitement que venait ...
    ... de me prodiguer Giulia me mettant à l’abri d’une érection pour un moment.
    
    Lorsque je basculai dans l’eau je m’arrangeai en me relevant pour aller toucher leur sexe ; elles mettraient forcément ce geste sur le compte de la bousculade. Et je me retrouvai à un moment le visage entre les cuisses de je ne sais plus laquelle de mes cousines qui, à son tour, venait de tomber. Je la saisis par les fesses pour prolonger ce contact puis la relâchai et me relevai. Lorsqu’elle sortit de l’eau, je vis que son regard avait changé. Elle me regardait se demandant ce qui s’était effectivement passé.
    
    — Ah ! C’était toi ? lui dis-je.
    — C’était moi en effet, mais tu ne pouvais pas me reconnaître, surtout en me regardant de si près ! répondit Martine.
    
    Et elle plongea, allant sans hésitation me caresser un instant puis reprenant la bousculade.
    
    Il y avait donc une ouverture possible !
    
    Les garçons, lassés de ces jeux enfantins avaient entrepris une course à la nage et avaient donc disparu de notre champ de vision. Giulia nous ayant rejoints, j’étais donc seul avec cinq filles. Elles voulurent faire un concours de plongeon et je devins naturellement le plongeoir. À tour de rôle elles grimpaient s’asseoir sur mes épaules, se levaient et plongeaient. J’étais aux anges, ces cinq sexes successivement collés à mon cou me mirent en joie. Je les aidais à monter, les saisissant sagement aux aisselles pour certaines, plongeant entre leurs jambes pour d’autres, ou glissant une main, avec le ...