1. Giulia, une brune qui ne compte pas pour des prunes


    Datte: 28/08/2021, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, plage, jardin, noculotte, odeurs, Oral nopéné, jeu, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    Les vacances d’été ne s’étaient pas déroulées comme nous l’avions pensé. Des cousins, des cousines, des oncles et des tantes avaient envahi la maison, restant plusieurs jours. Les cousines faisaient chambre commune et les cousins aussi.
    
    Je remarquai rapidement que Giulia, une des cousines, fille d’un frère de ma mère et d’une belle femme d’origine italienne, me draguait quelque peu. Belle brune, bien en chair, elle était superbe.
    
    Elle me demanda un jour de l’accompagner ramasser des prunes. Au fond du parc se trouvaient de grands et beaux arbres et, cette année, ils étaient couverts de fruits mais beaucoup tombaient déjà. Nous nous mîmes donc à les ramasser.
    
    Je remarquai que ma cousine, en mini-jupe un peu large, se rapprochait de moi. Elle finit par me faire face, accroupie mais genoux sagement serrés. Lorsqu’elle bougeait un peu je voyais loin entre ses cuisses et elle s’arrangea pour que je découvre qu’elle avait une culotte noire.
    
    — Elles seraient meilleures sur l’arbre, je les préfère moins mûres, me dit-elle, se précipitant vers l’échelle dressée contre son tronc.
    — Viens, appela-t-elle, lorsqu’elle fut en haut de l’échelle et qu’elle eut posé ses jambes sur deux grosses branches.
    
    Je commençais à monter lorsque je levai les yeux pour voir si la voie était libre.
    
    — Mais tu n’as pas de culotte, ne pus-je m’empêcher de lui reprocher – car en fait de noir, ce n’était pas une culotte mais sa forte pilosité de brune que j’avais remarquée tout à ...
    ... l’heure.
    — Oh ! J’ai oublié ! vérifia-t-elle d’une main en me regardant de ses grands yeux moqueurs. Ça te gêne ? Tu m’as pourtant déjà vue nue, non.
    — Oui, au Cap d’Agde, mais pas vue de dessous comme là, répondis-je, jouant le jeu qu’elle avait commencé.
    — Si ça te gêne, ne regarde pas, continua-t-elle.
    — Si ça te gêne toi, je ne regarderai pas, poursuivis-je.
    — Absolument pas, conclut-elle, et dépêche-toi de monter le panier.
    
    Et me voilà, mon visage à quelques centimètres du sexe de ma brune cousine. Cette position me permettait de constater qu’il s’en dégageait un parfum que mon nez approcha pour le recueillir discrètement. Giulia avait manifestement abandonné toute notion de pudeur et, comme personne ne pouvait nous voir, elle avait décidé de me provoquer.
    
    «Pourvu que la branche tienne », pensai-je lorsque me vint une petite idée.
    
    — Tu ne devrais pas aller dans les arbres sans culotte, il y a plein de petites fourmis qui pourraient se réfugier dans les poils, lui dis-je le plus calmement du monde. Tiens ! J’en vois une sur ta cuisse.
    — J’en ai peur, tue-la, supplia-t-elle.
    
    Sa position, jambes écartées, et ma présence sur l’échelle la mettaient un peu à ma merci. Je fis donc glisser mon doigt sur la cuisse, montant et descendant, frôlant puis touchant les poils :
    
    — Je ne la vois plus, soupirai-je.
    
    Et je me mis à fourrager dans sa toison, écartant, lissant, puis fouillant, m’introduisant entre ses lèvres déjà humides, débusquant son clitoris que je caressai ...
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