1. Giulia, une brune qui ne compte pas pour des prunes


    Datte: 28/08/2021, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, plage, jardin, noculotte, odeurs, Oral nopéné, jeu, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... furtivement, ressortant et lâchant :
    
    — Je ne la vois plus, mais je suis sûr qu’elle est là.
    
    Elle gémit :
    
    — J’ai peur.
    
    Je la rassurai, reprenant mon exploration de deux doigts maintenant, lissant tous les poils entre mes doigts dans le but inavoué de dégager sa vulve.
    
    — Alors, s’impatientait-elle.
    — Je ne vois rien mais je l’aurai, répondis-je, retrouvant d’un doigt son clitoris et de l’autre m’insinuant en elle, ressortant pour mieux y revenir de plus en plus profondément et de manière plus appuyée, tant et si bien qu’elle finit par souffler :
    — Qu’est-ce que tu fais ? feignant de s’offusquer mais appréciant manifestement le contact de mes doigts.
    — Je l’aurai, lui mentis-je, reprenant mes caresses de plus en plus précises, entrant et sortant mon index de son sexe maintenant totalement offert et roulant son clitoris avec une douceur qui provoqua des gémissements :
    — Mais, qu’est-ce que tu fais ? répéta-t-elle.
    
    Montant une marche supplémentaire ma langue vint un instant remplacer le doigt ce qui provoqua quasi instantanément une fulgurante jouissance accompagnée de petits cris qu’elle tentait de maîtriser.
    
    — Mais qu’est-ce qui t’a pris ? me reprocha-t-elle pour la forme, m’embrassant sur la joue, lorsque nous fûmes descendus.
    — Je n’ai fait qu’accepter ce que tu me proposais, me contentai-je de lui répondre.
    — C’était très bon, dit-elle, ne pensant plus aux fourmis et partant avec son panier de prunes, me laissant récupérer d’une érection qui ne ...
    ... serait pas passée inaperçue.
    
    Et, l’été revenu, toute la famille se retrouva au cap d’Agde pour une semaine avec tous les cousins, oncles et tantes.
    
    Nos parents et mes oncles avaient acheté, il y a quelques années chacun un appartement en rez-de-chaussée du bâtiment Héliopolis. Ces appartements, qui ne communiquaient pas, mais qui n’étaient séparés que par un petit muret qui ne nous avait jamais arrêtés, possédaient de belles terrasses pour des repas en commun ou de bonnes bronzettes. Mais nous étions, cette année, plus nombreux que le nombre de couchages disponibles. Qu’importe, nous allions installer des matelas sur la terrasse et tout irait très bien.
    
    Et puis, le but de ces vacances n’était pas de rester dans les appartements mais de profiter de la mer. Nous y passions le plus clair du temps, les parents apportant des sandwiches pour midi, et nous alternions baignade et bronzette.
    
    Allongé sur le ventre je somnolais lorsque je constatai que Giulia s’était installée dans l’axe de mon regard, sur le dos, jambes écartées, ses pieds touchant presque ma tête.
    
    M’appuyant sur un coude je constatai que tous se baignaient et qu’il ne restait que Giulia et moi.
    
    Comme nous nous étions installés au pied des dunes nous étions loin du regard des autres vacanciers ; et puis, en d’autres endroits de cette plage, il s’en passait d’autres.
    
    Je m’approchai donc, glissant ma main entre ses cuisses offertes qui instantanément s’écartèrent. Giulia, qui manifestement n’attendait ...