1. Fin de canicule, mais il peut faire encore chaud


    Datte: 24/01/2018, Catégories: fh, hplusag, hagé, fagée, couple, extracon, ascendant, enceinte, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, fouetfesse, extraconj, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Comment et pourquoi une jolie fille comme elle de vingt-cinq ans, que les hommes doivent regarder avec intérêt, est allée dans les bras de son père qui en a quarante de plus, en oubliant de se protéger, même s’il reconnaît volontiers que son père a de la prestance et sous des dehors assez austères de l’humour plutôt froid, de la douceur et un certain charme ? Et puis comme il lui a un peu dit, même s’il n’a pas de réponse à son interrogation, il s’est aperçu qu’Aurélie est une fille gentille, gaie, sensible, attentive aux autres et ce qui ne gâte rien intelligente et pas avec les deux pieds dans le même sabot. Bref, la personne avec qui il aimerait partager plus qu’une coloc.
    
    Il se met à lui parler doucement, lui disant combien il l’apprécie et l’aime malgré les circonstances particulières. Il faut passer outre celles-ci, elles ne sont pas rédhibitoires. Mais Aurélie ne peut s’empêcher de penser à ce que Bernard et elle ont fait ensemble. Et c’est digne de figurer en bonne place dans un film porno. D’ailleurs c’est dans un film porno, puisqu’elle a demandé que le dépucelage de son cul, suivi de l’inauguration de ses godes, soient filmés. Elle songe aussi à la fessée et à la journée, avec sa famille, sans culotte sous sa jupe avec le plug vibrant calé dans son petit trou.
    
    Les douces paroles de Xavier finissent par atténuer ces images de débauches. Elle se laisse bercer à ces déclarations qui résonnent au diapason de ce qu’elle ressent pour lui. Xavier la voyant ...
    ... fondre, écarte son peignoir délicatement et la poitrine de sa belle dévoilée, il l’embrasse. Si maintenant elle frissonne, ce n’est plus d’appréhension. Il joint les doigts à la bouche et caresse les lourds seins gonflés par la grossesse. Sa main descend lentement vers les hanches, le ventre. Elle atteint le buisson sans qu’Aurélie songe à l’arrêter. Elle s’égare dans les poils, passe le mont de Vénus pour s’engager dans le sillon humide. La jeune femme soupire d’aise et desserre légèrement les cuisses, mais malgré le plaisir qui pointe, ses fantômes reviennent, elle se raidit de nouveau et resserre les jambes en disant :
    
    — Je ne peux pas… Je suis désolée… Je suis désolée…
    — Ce n’est pas grave. Je comprends. Tout cela se révèle si brusquement. J’attendrai que ton esprit s’apaise et que tu laisses parler ton cœur comme je laisse parler le mien.
    
    Il lui ferme la bouche d’un baiser, l’empêchant de reprendre sa litanie. Quand ils se séparent, elle reste silencieuse, mais une larme s’échappe du coin de sa paupière, pourtant elle reste blottie dans les bras de Xavier et terrassée par ses sentiments qui s’entrechoquent, elle s’endort. Xavier lui caresse les cheveux doucement. Dans son sommeil, elle sourit. Il finit par, lui aussi, s’endormir sur le canapé. Il n’a pas voulu la réveiller.
    
    Le lendemain, Aurélie est toujours aussi perturbée. D’avoir à se concentrer au travail sur autre chose, l’aide à s’apaiser. La pause déjeuner la replonge dans le tourbillon de ses pensées ...
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