L'amant (1) Petit diable !
Datte: 25/08/2021,
Catégories:
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... loin, petit diable ? lui murmura-t-elle soudain.
— Oh oui, s’écria-t-il, enthousiaste ! Vous m’avez tellement excité que… que je suis devenu fou de vous !
— Alors, qu’est-ce que tu attends pour enlever ma petite robe ? fit-elle d’une voix chaude.
Au même instant, elle tourna sur elle-même afin de lui offrir son dos, puis, à tâtons derrière elle, elle reprit la verge en main. Antoine se précipita alors sur la fermeture Éclair et la tira fébrilement. Quand Agnès fit glisser la seule bretelle qui tenait encore, la robe fila le long de son corps jusqu’au sol dans un léger bruissement. Dans le plus simple appareil, elle offrait désormais ses formes harmonieuses à la convoitise d’un Antoine qui la dévorait des yeux avec gourmandise, tel un enfant devant une sucrerie. Il ne résista d’ailleurs pas longtemps et saisit à deux mains ces jolies fesses, si tentantes, et se remit à les pétrir sans le moindre scrupule. En réponse à ce geste désinvolte, il reçut de sa patronne un message clairement approbateur sur sa verge, qu’il sentit plus fermement serrée et masturbée plus énergiquement. Puis, comme s’il fût déjà las de parcourir ces fesses rebondies, Antoine glissa fébrilement ses mains, en remontant le long du corps de son amante, et s’empara bientôt de ses deux seins. Tel un connaisseur, il les soupesa, en évalua la taille et la fermeté, constatant avec satisfaction que les seins de sa directrice-adjointe étaient comme il les aimait, fermes et alertes. Il les caressa avec ...
... insistance. À ce nouveau contact, son amante gémit de plaisir.
C’est alors qu’elle eut l’idée de défaire son chignon. Tout en laissant Antoine continuer à peloter sa poitrine, elle porta ses mains à l’arrière de sa tête, enleva les épingles qui maintenaient sa coiffure, puis elle eut ce geste si féminin qui consiste à rejeter la tête en arrière et à lentement la secouer afin de libérer la chevelure. Les longs cheveux noirs de jais d’Agnès retombèrent alors sur ses épaules et ses seins, enfin elle appuya sa tête sur l’épaule d’Antoine, dans une attitude d’abandon. Un immense bien-être s’était emparé de tout son être : elle était tout simplement heureuse !
— Mets-moi tes doigts, lui susurra-t-elle, tout à coup envahie par une irrésistible vague de désir qui irradiait tout son bas-ventre !
Pendant que, d’une main, Antoine continuait à agacer les seins, l’autre glissa lentement sur le ventre plat de son amante jusqu’à atteindre son pubis. Là, il sentit au bout de ses doigts, d’abord la légère pilosité d’une toison bien entretenue, puis enfin des chairs brûlantes et détrempées, témoins de l’extrême excitation qui s’était emparée de sa partenaire. Il balaya des doigts ses lèvres intimes de haut en bas, en prenant bien soin de ne pas oublier le moindre centimètre carré. Puis son majeur trouva naturellement un chemin vers le vagin, qu’il pénétra profondément et sans difficulté, bientôt rejoint par son index. Alors, les deux doigts inquisiteurs s’agitèrent frénétiquement à ...