1. L'amant (1) Petit diable !


    Datte: 25/08/2021, Catégories: Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... l’instant d’avant.
    
    — Arrêtez, souffla-t-il, au bord de l’apoplexie… Agnès !
    
    Comprenant que le pauvre homme n’en pouvait plus, elle lâcha sa verge.
    
    — Descends de cet escabeau… Attention à ton boxer à tes pieds…
    
    Encore sous l’effet de l’extraordinaire sensation qu’il venait de vivre, Antoine manqua en effet de perdre l’équilibre et elle dut l’aider à descendre les quatre marches.
    
    — Ça va ? Ça t’a plu ?
    
    — Oh !… Je…
    
    — Eh bien, remets-toi mon grand, fit-elle, amusée !
    
    Elle prit sa verge en main :
    
    — Tu sais que ta queue est très belle, vilain petit diable ! lui susurra-t-elle à l’oreille.
    
    — Euh… Merci Agnès…, bredouilla-t-il, surpris par la soudaine crudité des mots de sa patronne, qui l’avait habitué à un langage beaucoup plus châtié.
    
    Mais là, son excitation était si forte qu’elle ressentait ce besoin viscéral de choquer par les mots les plus crus qui pouvaient lui passer par la tête. Tout en masturbant doucement sa verge, elle approcha ses lèvres de celles d’Antoine.
    
    — Embrasse-moi, petit diable, chuchota-t-elle !
    
    Répondant à son appel pressant, il la serra très fort dans ses bras, tandis qu’elle, abandonnant sa verge, se pendit à son cou. Bien vite, leurs langues se mêlèrent dans un baiser empreint d’une intense charge émotionnelle. Ils avaient l’un et l’autre tant désiré cette étreinte, qu’elle fut comme une délivrance. Si près d’elle, Antoine découvrit pour la première fois le parfum d’Agnès. C’était une fragrance très florale, très ...
    ... féminine aussi, légère et insistante à la fois, qu’il n’avait fait que soupçonner lorsque, fendant l’air de son pas toujours pressé, son sillage en révélait parfois quelques vagues effluves à peine perceptibles. Antoine, lui, les percevait et s’en emplissait les narines avec délice.
    
    Mais elle recherchait d’autres sensations : sentant que la verge turgescente de son amant était prisonnière entre eux deux, elle fit onduler son bassin afin de s’y frotter. Elle en éprouva vite une brûlante excitation qui remonta de son pubis jusqu’à son bas-ventre. Son désir avait alors atteint des sommets et elle savait que, désormais, plus rien ne pourrait l’empêcher de s’offrir à lui.
    
    Antoine, déjà très troublé par ce baiser de feu, mais aussi par ces parfums enivrants qui l’étourdissaient et plus encore par les ondulations traîtresses de sa partenaire, commençait à perdre toute raison. Il avait envie de la plaquer contre un mur et de la baiser ! Comme une salope, pensa-t-il soudain en se passant le film en lui-même ! Dans sa folie, ses mains s’animèrent soudain et parcoururent tout le corps de son appétissante directrice-adjointe, s’arrêtant plus particulièrement sur ses fesses qu’elles pétrirent sans ménagement. La robe en fut toute froissée, mais Agnès adorait.
    
    Antoine alors, décolla ses lèvres de celle de sa partenaire pour aller les glisser dans son cou où il déposa mille baisers. Là, il put tout à loisir s’étourdir de ce parfum qui l’émoustillait tant.
    
    — As-tu envie d’aller plus ...
«12...181920...23»