1. L'amant (1) Petit diable !


    Datte: 25/08/2021, Catégories: Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... l’intérieur de leur fourreau, en en explorant les moindres recoins.
    
    La réaction de la belle ne se fit pas attendre : Agnès, poussant un soupir d’aise, s’empara de nouveau de la verge de son amant pour la masturber encore plus violemment. Ce duel érotique dura quelques minutes pendant lesquelles, plus les doigts d’Antoine étaient actifs en elle et plus la main d’Agnès accélérait sa masturbation. Mais à ce petit jeu, l’homme est rarement gagnant. Au bord de l’éjaculation, Antoine dut se reculer brusquement afin de se soustraire à la main vengeresse de sa partenaire.
    
    Agnès, de son côté, échauffée par les doigts pressants de son partenaire, n’en pouvait plus. Il n’était dès lors plus temps de jouer à se caresser et à se stimuler l’un l’autre ! Une seule et une unique idée l’obsédait désormais : sentir en elle cette formidable queue qu’elle avait sucée avec tant de plaisir ! Alors elle s’appuya sur le dossier de la seule chaise se trouvant là, se pencha en avant et écarta bien les jambes, dans une position sans ambiguïté :
    
    — Viens, petit diable ! fit-elle dans son délire. Baise-moi maintenant ! Je veux sentir ta queue en moi !
    
    Elle n’eut pas besoin d’en dire plus pour retourner les sens de son amant, lui qui était déjà si proche de l’explosion finale. Il s’approcha de sa belle et la fit frémir d’envie lorsqu’elle sentit le bout de sa verge au contact de ses lèvres intimes. La seconde d’après, elle sentit quelque chose d’énorme la pénétrer d’une longue et puissante ...
    ... poussée. Tout d’abord, elle ne put contenir un petit cri de surprise, puis elle se laissa peu à peu envahir par une agréable sensation de bien-être, une sorte d’extase indéfinissable. Elle songea alors qu’il y avait une semaine à peine, elle avait succombé aux beaux yeux noirs de son jeune comptable. Aujourd’hui, elle avait ce bel homme pour elle toute seule. Elle se sentait si heureuse ! Oubliés les enfants, oublié le mari ! Il n’y avait plus que Son Antoine et sa formidable queue qui la défonçait sans ménagement. Elle avait tellement désiré son petit diable d’homme, elle l’avait tellement rêvé, qu’elle aurait voulu qu’il la baisât toujours et toujours, sans s’arrêter.
    
    Antoine, lui aussi, avait désiré cet instant comme un fou ! Il se souvint s’être masturbé la nuit, seul dans son lit, en pensant aux belles jambes de sa directrice-adjointe et à ce décolleté si généreusement offert. Mais là, plus question de masturbation, il ne rêvait plus, sa queue était bel et bien en elle ! Il la possédait et elle était à lui, à lui tout seul ! Il la pilonnait comme un sauvage et, à en juger par ses râles de plaisir, elle aimait ça ! Elle en redemandait, même !
    
    — Oh oui, vas-y. Enfonce-la-moi bien, s’écria-t-elle pour l’encourager !
    
    Mais son pauvre amant n’en pouvait déjà plus et ces derniers mots, si vulgaires dans la bouche de sa directrice-adjointe, déclenchèrent un orgasme fulgurant qui le fit tourner de l’œil durant quelques secondes. Sa partenaire, ressentant en elle les violents ...