1. À la nuit succède le jour, l'amour continue


    Datte: 23/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, toilettes, fdomine, hdomine, miroir, Oral pénétratio, tutu, amourcach, Auteur: Alineasixty, Source: Revebebe

    ... fais pas ça, ça me fait fondre, et tu me fais une déclaration qui me ferait vaciller si je n’étais pas déjà allongée.
    
    — Tu sais Anne, je t’ai toujours désirée, depuis le premier jour. Je m’étais résigné à ne jamais t’avoir, tu sais bien pourquoi : nous sommes quand même très mariés tous les deux. Quand j’ai su que tu serais là, à ce séminaire, j’étais tellement heureux de pouvoir passer quelques jours près de toi que quand tu es venue dans ma chambre hier soir, je ne pouvais pas y croire, c’était un vrai miracle. Depuis, j’ai envie de toi tout le temps, c’est tellement bon, tu es mieux que dans mes rêves, j’ai l’impression d’avoir enfin trouvé celle que je voulais avec toi. Regarde ce que tu viens de me faire, j’ai cru mourir de plaisir. Mais il y a un problème, ça ne me suffit pas, je voudrais plus de toi : plus de temps, plus de toi. Cela ne va pas pouvoir durer ainsi.
    
    Sans transition, tu passes à l’acte : tu me bascules sur le dos et tu me pénètres de ta vigueur déjà retrouvée. Tu es au-dessus de moi, en appui sur tes avant-bras, tu me fixes et je vois qu’on ne joue plus, tes va-et-vient s’appliquent à me posséder le plus ...
    ... profondément possible. C’est vrai que tu me rends dingue toi aussi, je veux être ta maîtresse, je veux passer ma vie au lit avec toi, je suis prête à tout vivre avec toi et pour toi, je veux jouir à en mourir dans tes bras et en même temps je ne sais plus quoi penser : que signifieplus de toi et pas pouvoir durer ainsi ?
    
    Mes pensées s’embrouillent, il faut choisir : je me laisse aller au plaisir : te sentir, puissant et régulier, comble mon ventre affamé, tes mains sur mon corps, ta langue qui prend la mienne achèvent de me faire perdre la raison. Tu vas me faire jouir mon amour, je le sens arriver, je te le dis, ton rythme s’accélère, tu y mets plus de force encore, nous sommes parfaitement synchronisés. Je pars enfin et je veux exprimer mon plaisir, je gémis, je jouis, j’ai envie de pleurer. Cela te rend fou, tu me défonces littéralement pour me terrasser définitivement. Tu me transperces et tu décolles toi aussi, tu me dis des mots d’amour à l’oreille, pas tous compréhensibles d’ailleurs.
    
    Je t’aime aussi. Je dois me rendre à l’évidence. Je crois que nous sommes irrémédiablement liés par nos corps, c’est trop tard pour les autres.
    
    À suivre… 
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