1. À la nuit succède le jour, l'amour continue


    Datte: 23/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, toilettes, fdomine, hdomine, miroir, Oral pénétratio, tutu, amourcach, Auteur: Alineasixty, Source: Revebebe

    ... connaît, tout le monde se retrouve, c’est infernal. J’en ai assez de tous ces bavards, j’ai envie de m’isoler un peu, et puis j’ai des coups de fil à passer, mes mails à regarder. Je disparais sans que tu me voies, je te laisse aux autres, j’ai besoin de ce temps seule.
    
    Une demi-heure passe, nous allons reprendre, il faut que j’aille aux toilettes avant de regagner cette salle immense où nous sommes réunis. Quand je sors de la cabine, penchée au-dessus du lavabo pour me laver les mains, je redresse la tête et je te vois, comme une apparition dans le miroir. Je n’avais rien entendu. J’ai presque peur et je sursaute. Tu souris, tu ne dis rien, pas un mot. En un éclair, tu fermes la porte à clé. La pupille bien visible de tes yeux bleus se dilate d’un coup, ils deviennent presque noirs. J’ai compris. Je me soumets à ton désir, je sais ce que tu veux. Je ne bouge pas, je ne fais pas de bruit, on pourrait nous entendre.
    
    Tu te places derrière moi, tu remontes ma jupe. Comme il fait déjà bon je ne porte ni collant ni bas, cela t’arrange, tu fais glisser ma culotte jusqu’aux genoux. Tu m’obliges d’une main à poser les miennes bien à plat sur l’émail du lavabo et de l’autre tu déboutonnes ton pantalon. Je sens une magnifique érection contre mes fesses que tu caresses et je vois le scénario : tu vas me prendre par derrière, là, debout. D’ailleurs tu ne baisses même pas ton boxer, ton sexe passe dans l’ouverture. Instinctivement, je me cambre. Je ne te quitte pas des yeux, toi ...
    ... non plus, tu me fixes toujours dans le miroir et sans un mot, tu te guides de la main et tu me pénètres d’un coup, c’est rapide et violent. Tu bouges maintenant, concentré sur tes coups de reins. Tu me tiens fermement par les hanches, comme si je pouvais m’enfuir. Tu ne ralentis même pas la cadence quand à l’extérieur quelqu’un tente d’accéder aux toilettes, tu veux jouir de moi et en moi, tu es bestial et brutal. J’ai l’impression que tu me punis d’avoir disparu pendant ce court moment, de t’avoir échappé. Le plaisir arrive vite pour toi, tu te mords la main pour ne pas crier et tu fermes les yeux pour le sentir jusqu’au bout. Je te regarde jouir, tu es beau. Tu me plais terriblement. Mais tu m’as bien possédée ! Je vais devoir rester ainsi tout l’après-midi, ta semence entre les cuisses ! Je te le dis et tu en ris pendant que tu te rhabilles, salaud !
    
    — J’aime savoir que je suis en toi, à l’insu de tous, c’est terriblement excitant. Tu es très belle ainsi, rien n’est plus beau qu’une femme à qui on vient de faire l’amour, regarde ce rose aux joues, j’adore !
    — Tu ne m’as pas fait l’amour, tu m’as baisée !
    
    J’exagère volontairement c’est vrai, c’est allé très vite et très fort, mais c’était aussi très excitant. Je suis heureuse de susciter un tel désir, et te sentir tout au fond de moi, même brutal, c’est si bon… Tu ris encore et tu poursuis :
    
    — Oui ma chérie, tu es tellement bandante, j’avais trop envie de toi, d’ailleurs maintenant j’ai tout le temps envie de toi ! ...
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