1. À la nuit succède le jour, l'amour continue


    Datte: 23/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, toilettes, fdomine, hdomine, miroir, Oral pénétratio, tutu, amourcach, Auteur: Alineasixty, Source: Revebebe

    ... Fais attention, tu ne sais pas de quoi je suis capable…
    
    Et tu me plantes là, décontenancée… Capable de quoi ? Que veux-tu dire ?…
    
    Il faut reprendre une figure détachée. Nous sortons l’un après l’autre des toilettes pour dames, sous le regard furieux d’une rombière qui comprend instantanément en nous voyant ce qui s’est passé ici.
    
    L’après-midi s’étire lentement, que ce séminaire est long ! Je suis fatiguée (séquelles de la nuit précédente ?). J’ai envie de rentrer à l’hôtel, de me glisser nue sous les draps, de dormir et de rêver. Mais il y a ce dîner auquel nous devons tous assister, à quelle heure cela va-t-il encore finir ? J’en suis là de mes pensées quand ta voix me tire de ma rêverie :
    
    — Anne, tu es avec nous ? Qu’est-ce que tu fais, tu veux repasser à l’hôtel avant de dîner ?
    — Mmm… Oui, j’aimerais mieux, on a le temps n’est-ce pas ?
    — Oui, allons-y.
    
    Les autres sont du même avis, déplaçons-nous en groupe. Le trajet jusqu’à l’hôtel est rapide, tu es gai et j’ai l’impression que tu vas tout leur lâcher : entre deux considérations sans importance, tu vas leur dire que depuis cette nuit je suis à toi, tu vas leur décrire par le menu comment tu me fais l’amour et jouir comme une folle, mais non, tu ne laisses rien paraître, ton flegme légendaire est toujours à l’œuvre, je suis admirative.
    
    Nous arrivons dans le hall puis dans l’ascenseur, les autres sont restés boire au bar. Enfin seuls, tous les deux. Les portes se referment et nous pouvons enfin nous ...
    ... jeter l’un sur l’autre pour nous embrasser. Mon dieu, que ce baiser est doux, tendre et suave. Le goût retrouvé de ta bouche, la chaleur de ton corps malgré le costume, et cette bosse dans ton pantalon quand tu me colles à la paroi… Je perds la tête. Mais les portes se rouvrent déjà, il faut de nouveau reprendre contenance.
    
    C’est notre étage, que faire ? Quelle question… Les heures qui passent nous rapprochent de l’inévitable séparation, il faut en emmagasiner le maximum et prendre tout le plaisir que nos corps veulent nous donner. Je te prends discrètement par la main pour t’entraîner dans ma chambre. Se toucher, même du bout des doigts est magnétique, il circule entre nous une énergie électrique invisible et puissante presque palpable qui nous attire comme des aimants (aimants-amants). Mon corps t’appelle, ma peau devient hypersensible, ma bouche se gonfle et mes reins se cambrent malgré moi. Je sens que je mouille encore ma culotte déjà maculée de toi depuis ce midi. C’est tout mon corps qui se prépare à l’amour. Un flash de l’épisode du lavabo et la sensation physique de ta queue dans mon ventre s’imposent à moi : je suis en train de me laisser submerger par mes sens. Fais de moi ce que tu veux mais donne-moi du plaisir. Fais-moi jouir encore et encore. Cela ne va pas tarder, je vais comprendre de quoi tu es capable Erik. Tes paroles sibyllines dans les toilettes ce midi vont prendre tout leur sens…
    
    Ma chambre est tout au bout du couloir, je cherche fébrilement la clé ...
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