Mister Hyde 30
Datte: 22/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: LVolante, Source: Hds
... question d’échapper au moindre désir du tourmenteur : en l’occurrence, moi. De l’autre côté, un aménagement différent qui oblige la patiente à s’agenouiller sur la petite estrade en glissant ses mollets dans les couloirs prévus à cet effet. Je te laisse deviner les possibilités qu’offre cette position car c’est elle que j’ai choisie pour toi.
Installe-toi je te prie.
Incapable de résister, Julie obéit. L’écartement entre les deux guides des jambes était tel qu’elle sentit ses adducteurs se tendre comme la corde d’un arc. Elle posa son cou et ses poignets dans les cavités que Frédéric referma à l’aide d’un lourd panneau de bois. Dans la situation où elle se trouvait, les opportunités pour Frédéric étaient effectivement multiples. L’ouverture de ses cuisses offrait une vue imprenable sur son sexe ou son anus et son dos était tout autant explosé. Par-dessous, sa poitrine n’était guère plus protégée, seul son ventre pouvait échapper à la vindicte du martinet.
– Quel dommage ! fit la voix de Frédéric. Il ne t’a sans doute pas échappé que, dans cet agencement, il m’est difficile de me faire sucer – encore que la planche qui enserre ton cou ne te laisse guère d’espace – te baiser la bouche serait sans doute une expression plus adéquate. J’avais donc fabriqué une marche qui me permets de me mettre à hauteur et je ne la trouve pas. Un oubli de Frédérique, certainement. Le résultat, c’est que je vais devoir t’enculer sans que ma queue soit lubrifiée par ta salive…
La voix, ...
... éloignée au début, s’était rapprochée peu à peu. Frédéric dit les derniers mots, penché au niveau du visage de Julie. Celle-ci laissa tomber sa tête et ne répondit pas. Elle ferma les yeux pour se préparer à l’assaut.
La douleur qu’elle ressentit ne fut pas celle attendue. Frédéric pinçait les lèvres de son sexe entre deux doigts mis en étau. Si elle s’était parfois soumise, les dominants qui la manièrent – excepté celui qui l’avait fouettée – se gardèrent toujours de pratiques douloureuses dans cette partie de son anatomie. Frédéric, lui, s’en foutait royalement. Elle cria pour qu’il cesse, il n’en fit rien dans l’immédiat jusqu’à ce que d’un puissant coup de rein, il s’enfonçât en elle.
Peu à peu il calma le rythme et ses allées-venues se firent plus langoureuses. Julie le sentait entrer et sortir de son sexe et la douleur qui irradiait encore de ses lèvres se noya bientôt dans le plaisir que prodiguait la queue. Elle se mit à gémir. C’est le moment qu’il choisit pour parler :
– Ta jolie chatte est toute mouillée, comme je les aime. Tu sens comme ma tige coulisse bien dedans. Elle y est comme chez elle. C’est pour ça que je ne te bourre pas comme la salope que tu es. Pour ça que je ne claque pas ta croupe non plus. Pourtant j’en meurs d’envie : ton cul appelle la fessée. Mais tu te crisperais et cela, je ne le veux pas. Ton petit trou est si détendu que je pourrais glisser mon pouce sans que tu t’en rendes compte. Une simple gifle sur ta fesse et il se refermerait. ...