1. Chroniques d'un parc public – partie 2


    Datte: 22/05/2018, Catégories: Gay Voyeur / Exhib / Nudisme Inceste / Tabou Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... longtemps.
    
    Je les ai relevés en disant :
    
    « OK. Je fais la salope. »
    
    Il s’est arrêté de marcher et je me suis approché de lui. J’ai défait ma ceinture, ma braguette, puis j’ai tout baissé d’un seul coup, jusqu’à mes chevilles. Il a aussitôt sorti sa queue et je me suis accroupi pour la saisir entre mes doigts.
    
    C’était la première fois que je suçais une queue et, malgré le froid, mes jambes ne grelottaient pas, ni ma queue qui était raide entre mes cuisses. En revanche, mes couilles s’étaient rétractées, j’en pris conscience quand j’y portai ma main, sans cesser de sucer la queue de Stéphane. Je me suis mis à me caresser l’entre-cuisses comme l’aurait fait une femme ; comme je l’aurais fait si j’avais eu une chatte dans ce moment. Mais je n’en avais pas, alors je me suis contenté de mon cul.
    
    Et Stéphane m’a dit :
    
    « Enfoiré, tu fais quoi ? »
    
    J’ai répondu :
    
    « Je me branle la chatte. »
    
    Dans ma bouche et au bord de mes lèvres, sa queue était dure comme un gros bâton. Si je l’avais mordue, il n’aurait rien senti. Et j’aimais sucer son gland, car je savais comment il fallait s’y prendre pour les gonfler à bloc.
    
    Puis les faire gicler au fond de ma bouche.
    
    J’ai tout pris, tout avalé.
    
    Ça n’a pas pris vingt secondes.
    
    Stéphane s’est reculé en disant :
    
    « Petite pute. »
    
    Et je me suis relevé.
    
    Ma bite était tendue à fond. Je n’ai eu qu’à me toucher les couilles pour éjaculer à mon tour, sur ce fichu carrelage, sans même toucher ma queue. Les deux premières giclées ont fendu l’air, puis ont cogné le sol.
    
    Les deux suivantes sont restées suspendues à mon gland, tandis que je me touchais toujours les couilles. Le sperme de Stéphane dégoulinait de ma bouche.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Je m’aime bien en pute. »
    
    Et alors une ultime giclée m’a secoué tout le corps.
    
    J’étais en sueur.
    
    Je n’ai pas fini de revenir dans ce parc.
    
    Quelle que soit la saison.
    
    Quel que soit le genre de partenaires.
    
    .
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