1. Chroniques d'un parc public – partie 2


    Datte: 22/05/2018, Catégories: Gay Voyeur / Exhib / Nudisme Inceste / Tabou Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... ne l’ai vue qu’une seule fois dans le parc. Ceci dit, ce fut aussi le cas d’autres femmes qui sont venues baiser un soir et qu’on n’a jamais revues ensuite, soit parce qu’elles n’étaient pas d’ici, soit parce qu’elles avaient agi sur un coup de tête.
    
    Ce qui se passait dans le parc se vivait au présent.
    
    Jamais au futur.
    
    Quand j’ai demandé à Moon si elle venait souvent ici, elle m’a répondu :
    
    « Non, c’est la première fois. »
    
    « Qu’es-tu venue faire ? »
    
    Elle évitait mes regards :
    
    « J’aime bien l’hiver, a-t-elle dit. Le froid, la neige, tout ça. »
    
    J’ai répondu en souriant :
    
    « Les chauves-souris et les vampires ? »
    
    Elle a levé les yeux vers moi et dit :
    
    « C’est ça. »
    
    Je la dépassais d’une tête. Elle était mince, à vue d’œil, mais pas autant que la petite asiatique. Sous son manteau, je ne parvenais cependant pas à évaluer le volume de sa poitrine, ni la largeur de ses hanches. Mais son visage creusé et harmonieux laissait supposer qu’elle ne pesait pas 130kg.
    
    J’ai repris le fil du dialogue :
    
    « Tu as la peau très claire et des fringues noires, c’est étonnant. »
    
    Elle m’a de nouveau regardé et dit :
    
    « C’est un état d’esprit. »
    
    « Ta peau claire, c’est un état d’esprit ? »
    
    Elle a souri pendant une demi-seconde et répondu :
    
    « Un état d’âme. »
    
    Je n’ai rien dit. On a tiré sur nos cigarettes et, constatant qu’elle ne partait toujours pas en courant, j’ai décidé de griller des étapes en disant :
    
    « Ta chatte est claire aussi ? ...
    ... »
    
    Elle ne m’a pas regardé. Elle fixait autre chose avec ses grands yeux verts cernés de mascara, en tirant sur sa cigarette. Elle a soufflé sa fumée vers les arbres, puis répondu :
    
    « Oui, je me rase à blanc. »
    
    Et je me suis mis à bander par petits à-coups.
    
    Je lui ai dit :
    
    « On peut voir ? »
    
    Elle ne s’est pas enfuie. Elle s’est contentée de me dire :
    
    « Je peux finir ma clope, avant ? »
    
    J’ignore ce qu’elle aurait fait si je lui avais répondu « non ». L’aurait-elle écrasée aussitôt sans l’avoir terminée ? Se serait-elle enfuie après m’avoir griffé le visage avec ses longs ongles de vampire ?
    
    J’ai répondu :
    
    « Bien sûr, tu peux la finir. »
    
    Et j’en ai profité pour finir la mienne.
    
    Je n’ai jamais revu Moon, mais je n’oublierai pas le moment où, après avoir jeté son mégot dans la neige, elle a déboutonné son manteau noir, puis défait sa ceinture et sa braguette avant de baisser d’un seul mouvement son pantalon et sa culotte noire jusqu’à mi-cuisses.
    
    Sa chatte était lisse. Blanche comme du calcaire. De toutes petites lèvres serrées au creux de hanches parfaitement proportionnées. Elle m’a laissé y approcher mes doigts pour toucher. Puis je l’ai masturbée doucement. Elle ne m’a plus regardé à compter de ce moment-là. Elle n’a suivi que le mouvement de mes doigts, puis l’approche de ma queue, une minute plus tard.
    
    Elle ne semblait même pas avoir froid et, au moment où mon gland a forcé l’entrée de sa chatte, je me suis demandé si je n’étais pas en ...
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