1. Chroniques d'un parc public – partie 2


    Datte: 22/05/2018, Catégories: Gay Voyeur / Exhib / Nudisme Inceste / Tabou Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... j’avais eu plusieurs fois l’occasion d’expédier dans sa bouche ou ailleurs sur son corps.
    
    J’ai fini de souffler ma fumée avant de répondre à Stéphane :
    
    « Ouais. »
    
    Il a dit :
    
    « Quelle petite pute. Elle est capable de ne pas venir, avec ce froid. »
    
    J’ai tiré sur ma cigarette et répondu :
    
    « Elle est imprévisible. »
    
    Il a grogné :
    
    « Salope… »
    
    Et je me suis de nouveau rapproché de l’entrée pour contempler la chute des flocons silencieux. Bon sang, ce cul. Bon sang, ces petits nichons. Bon sang, cette langue. Bon sang, le plaisir que j’avais à la voir sucer des bites et à se prendre des giclées. Elle adorait ça.
    
    Dans mon dos, j’ai entendu Stéphane dire :
    
    « Je ne l’ai même pas sautée, putain… J’ai déchargé dans sa bouche, rien qu’en la voyant branler une autre queue. La chienne… »
    
    Je n’ai pas répondu.
    
    A moi aussi, il était arrivé de ne pas avoir le temps de gicler en elle, tellement il était bon de la regarder sucer d’autres mecs ou se faire pénétrer, à poil ou à demi vêtue.
    
    La dernière fois remontait à une semaine. Plus ou moins six jours. Dans le froid, j’avais déchargé dans sa bouche pendant qu’un type l’enculait en grognant des insanités.
    
    Derrière moi, Stéphane a dit :
    
    « La nuit va tomber. Elle ne viendra plus. »
    
    J’ai répondu :
    
    « Possible. »
    
    Puis il m’a regardé, d’un air accusateur, et il a dit :
    
    « Tu es plutôt masculin ou féminin ? »
    
    J’ai fait :
    
    « Quoi ? »
    
    Stéphane a baissé les yeux un instant et dit :
    
    « ...
    ... Dans tes trips personnels, il t’arrive d’être féminin ? »
    
    Je n’ai pas répondu tout de suite. Je suis revenu aux flocons, qui s’intensifiaient ou qui se contentaient de prendre du volume. La nuit venait et on ne verrait sans doute pas Kim débarquer ce soir-là, avec son manteau en daim marron et ses bottes noires qui arrivaient au-dessus de ses genoux. Ses sous-vêtements dessous.
    
    Je me suis tourné vers Stéphane :
    
    « Pourquoi tu me demandes ça ? »
    
    Il a souri en regardant de nouveau le sol, puis dit :
    
    « Parce que, moi je suis masculin. Et je me disais que si par hasard tu étais féminin, on pourrait se débrouiller. »
    
    « Se débrouiller comment ? »
    
    Il s’est tourné vers moi :
    
    « Ben, tu pourrais me sucer, comme une petite salope. Et puis on n’en parlerait plus. »
    
    J’ai soupiré.
    
    Les flocons étaient de plus en plus nombreux. Ils avaient pris la taille de plumes d’oies, et moi je bandais. Kim ne viendrait plus. C’était fichu. Le sous-bois devant moi s’assombrissait, et Stéphane avait prononcé des paroles qui me faisaient bander : « comme une petite salope ».
    
    Alors je me suis retourné vers lui.
    
    Il me regardait toujours, sans cesser de faire des va et vient d’un urinoir à un autre. De multiples fois, dans ma vie, je m’étais demandé ce que c’était d’être une fille ou une femme. De multiples fois, je m’étais demandé ce que c’était de se faire toucher par un homme. De se foutre à poil et de sucer une queue. D’ouvrir ses cuisses.
    
    J’ai baissé les yeux, mais pas ...
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