1. Résonance primitive


    Datte: 22/05/2018, Catégories: fhhh, campagne, fête, amour, double, Partouze / Groupe exercice, totalsexe, Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... m’ouvrant la voie. Son anus glisse sous mes doigts qui vont pour se planter dans son vagin incroyablement trempé et très ouvert. J’enfonce mes doigts profondément, sans retenue, comme elle tout à l’heure avec ma queue dans sa bouche. Elle râle et ondule sur ma main. « Aaah salaud ! » souffre-t-elle de plaisir. « Putain, c’est bon ! Oui vas-y ». Elle réclame.
    
    Mon pote suit le mouvement, lui fourre la queue dans la bouche et entreprend de la baiser ainsi. Les compères délaissés se prennent en main et nous tournent autour, se gavant de la scène. L’obscénité est aussi dans leur regard. Je murmure à ma blonde :
    
    — Te voilà, petite salope ! Il est là ton cœur, au fond de ta chatte.
    — Oui, oui, crie-t-elle. Au fond ! Encore !
    — Mets-toi à quatre pattes.
    
    Docile, pressée, elle se met en position entre les jambes de Ced qui accompagne la manœuvre sans quitter sa bouche. Big Dick s’agenouille, une main sur sa queue, pendant que l’autre caresse le dos et les fesses de ma blonde.
    
    Moi, la vision de son cul magnifique en levrette me donne une irrésistible envie d’y coller ma bouche, d’enfoncer ma langue. Je suis vorace et fouille littéralement son intimité, je la goûte et chavire. Elle apprécie sans aucun doute, puisque d’une main, elle écarte une fesse et s’ouvre impudique. Baisée par la bouche et le cul léché, nous sommes dans le brut, et les mots crus fussent. « Putain, la salope ! » « Elle aime ça, la bite ! » « Tu vas bien te faire enculer, hein, petite pute ? » « Elle ...
    ... veut du foutre, la chienne ».
    
    Ce sont surtout les deux geeks qui peaufinent leur prose. Mon pote, toujours concentré sur la bouche de la blonde, et en jouisseur qu’il est, rallume son joint, silencieux. Moi, la bouche pleine, je n’en pense pas moins. Et elle ? Pas de doute, elle est en transe. Comprend-elle encore le sens de ces paroles, ou n’entend-elle plus que l’intention, la pulsion ? Le bestial trouve ses mots en définitive.
    
    Je veux la prendre. D’abord, sa chatte. Je glisse mon gland entre ses lèvres, du clito à l’anus où je finirai, je le sais. Puis je cherche l’entrée de son vagin que je trouve facilement. C’est comme si elle m’aspirait. Elle est chaude, très chaude. Je glisse en elle et frisonne. Je me penche en arrière, accroché à ses hanches, fermement, et commence à la pistonner en douceur. Braquemart s’approche et se rince l’œil, toujours en s’astiquant. Elle est large et trempée. Je ne la sens pas assez à mon goût. Alors, je dérange mon pote :
    
    — Tiens, mon p’tit loup, glisse-toi sous elle et prends-la par la chatte. On va faire une double.
    
    Elle se laisse faire, plus que docile. Elle s’empale sur lui et fait quelques va-et-vient, la tête enfouie dans son épaule. Mes doigts ne rencontrent aucune résistance et s’enfoncent facilement dans son anus bien lubrifié. Ma queue en fait autant. J’adore la double pénétration, cette prise en tenaille. Je les domine tous les deux à mon rythme et à mon désir. Ma blonde s’ouvre pleinement, exaltée. Elle cherche de l’air ...