Résonance primitive
Datte: 22/05/2018,
Catégories:
fhhh,
campagne,
fête,
amour,
double,
Partouze / Groupe
exercice,
totalsexe,
Auteur: Lokz, Source: Revebebe
... et laisse échapper quelques cris de plaisir. Elle se reprend aussitôt, se barrant la bouche d’une main, en vain, puis la tend vers le pote à braquemart, réclame sa queue pour se faire taire. Je ne chôme pas derrière elle. Je le payerai demain, mais je donne de ma personne sans hésiter, boosté par l’accueil émouvant de son cul.
Mon pote n’a pas le choix du rythme et j’espère qu’il ne tardera pas trop à jouir, Braquemart s’impatiente. Alors je pousse le vice.
— T’aimes te donner, petite chienne ! T’aimes te donner partout et à tout le monde, pourvu qu’ils soient nombreux et bien vicieux. T’as dû en voir des squats, des caves, des parkings. Baisée sur des matelas posés à même le sol, par des queues de toutes tailles et de toutes couleurs. Gisant dans le foutre, terrassé par des orgasmes à répétition, souillée.
— Oui ! crie-t-elle délivrée.
— T’as dû essayer d’arrêter, redevenir humaine, devenir fidèle. Mais ça n’a pas tenu. Pire, la fidélité t’a ouvert de nouveaux appétits.
— Oui, plusieurs fois j’ai essayé. En vain.
— Qu’est-ce qui s’est passé ? Raconte ?
— Je les ai tous trompés, tous ! Et j’ai joui encore plus fort. J’en ai même trompé un avec son père.
Ouahou ! Je ne m’attendais pas à celle-là. Braquemart lâche un « la salooope ! » de sidération alors que son pote se contente d’un « putain ! » songeur. Ced lui, me regarde l’air à la fois ahuri et hilare, figé. Il en a vu d’autres dans son boulot. J’attrape ma blonde par les cheveux et en deux coups de queue ...
... marqués lui intime :
— Raconte !
— C’était un pervers…
— Ben voyons !
— Je l’ai surpris un soir en train de se branler dans son bureau devant son PC. Quand il m’a vue, il ne s’est même pas caché. Il m’a regardée droit dans les yeux en continuant de se branler. Ça a été plus fort que moi. J’ai regardé sa queue, elle était grosse et épaisse, toute luisante. J’étais perdue. Il l’a saisie par la base et l’a secouée comme un hochet que l’on tend à un enfant. Je me suis approchée et je l’ai sucé comme une furie avide, et il m’a rempli la bouche de son foutre. J’ai tout avalé et j’ai rejoint son fils qui dormait dans la chambre d’à côté.
— T’as eu honte, pas vrai ? Mais honte de quoi ?
— Honte de ne pas avoir honte. Honte de toujours vouloir recommencer.
Sa délivrance provoque la mienne. Je jouis en elle jusqu’à m’effondrer sur son dos, comme un homme mort. Je pourrai m’endormir comme ça, je suis tellement bien, mais braquemart attend son tour. Je me retire péniblement et tombe à la renverse. Heureusement, la terre est douce. Après ça, je ne capte plus grand-chose. Mon pote qui sort de sous elle et se finit dans sa bouche, gentiment, en lui caressant le front et la joue. Braquemart et son pote qui prennent le relais. Moins tendre et plus physique, braquemart l’encule sauvagement pendant que son pote lui tient la tête pour bien la voir grimacer de plaisir. Quelques mots crus encore s’échappent :
— Tu sens comme je t’encule, salope.
— Traînée…
— Putain.
Trop de mauvais ...