1. Résonance primitive


    Datte: 22/05/2018, Catégories: fhhh, campagne, fête, amour, double, Partouze / Groupe exercice, totalsexe, Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... elle les branle tous les deux au même rythme. Mon voisin de gauche ne doit pas se sentir sous membré en fin de compte. La main de la blonde paraît toute menue accrochée à son morceau.
    
    — Tu passeras en dernier, lui dis-je en remontant mes yeux vers sa tête.
    — Pourquoi ça ? me répond-il un peu rétif.
    — Le meilleur pour la fin, bien sûr.
    
    Je voyais presque le bug dans sa tête.
    
    — Je parle de son cul… de ta grosse queue…
    
    Il ne comprend pas le bougre. La blonde vient à mon secours.
    
    — Laisse faire, lui dit-elle d’une voix ensorceleuse, avant de s’enfiler son gros morceau jusqu’au fond de la gorge. Je dois dire que j’étais impressionné par son aptitude euh… gorgiale ?
    
    Elle passe de bite en bite, suçant, branlant, et soupirant de bonheur. Rythmés par les bruits humides de sa bouche, nous nous laissons guider par son appétit glouton, lorsque soudain Big Dick nous fige avec un « chut » des plus autoritaires. Nous tendons tous l’oreille.
    
    — J’entends des pas, et ça se rapproche, chuchote-t-il.
    
    Il a raison. Nous l’entendons tous. Si notre blonde a cessé de sucer, elle n’en continue pas moins à branler doucement et machinalement les deux queues qui lui occupent toujours les mains. Nous scrutons tous dans la même direction, un peu inquiets, je dois dire, mais personne ne rompt la formation. Un point rouge lumineux et je reconnais la silhouette de Ced.
    
    — Vous êtes là, bande de cochons ? dit-il d’un air joyeux.
    
    La blonde sourit, puis reprend ma queue en ...
    ... bouche. Je sens qu’elle est contente. Elle en n’a plus rien à foutre que nous ne soyons pas tous montés comme des ânes. Mon pote se déshabille complètement en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire et rejoint le cercle. Aussitôt, elle goûte la marchandise.
    
    — Ouah la vache ! lâche-t-il, surpris à son tour.
    
    Elle suce bien, rien à dire. Elle avale savamment nos bites à tour de rôle. Sa bouche et ses joues luisent de salive qu’elle aime à se répandre à chaque changement de queue. Les bruits humides sont encore plus fort maintenant, orgiaques. Elle est magnifique, soumise à nous offrir ce spectacle.
    
    Mais trêve de sentimentalisme. Ce qu’elle veut, c’est se faire baiser comme une chienne et pour ça, il va falloir donner tout ce qu’il nous reste. L’heure tardive, la consommation d’alcool et de chichon jouent contre nous, sans parler de l’âge aussi. (Dans ma jeunesse, il m’est arrivé de m’endormir dans une fille, en plein coït, alors ce soir…). Je délaisse donc sa bouche gourmande et passe derrière elle sous l’œil hagard de mes trois potes de baise. Le verso vaut le détour si je puis dire. Sa peau est douce et je me laisse couler le long de son dos, lui saisissant les seins au passage. Seins gluants de salive et aux pointes durcies. Profitant d’une immobilisation passagère, je lui mords délicatement l’épaule, juste à la base du cou. Puis lui murmure ;
    
    — Voyons voir ton cul, maintenant.
    
    Sentant ma main descendre vers ses fesses, elle se lève légèrement et se cambre, ...
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