1. Résonance primitive


    Datte: 22/05/2018, Catégories: fhhh, campagne, fête, amour, double, Partouze / Groupe exercice, totalsexe, Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... derrière nous et nous nous enfonçons dans l’obscurité. J’ai toujours sa main dans la mienne, fine et douce, elle ne m’a pas lâché. Elle me tient, et me communique sa chaleur, son excitation qui monte, mais aussi sa confiance. Et je dois dire que c’est cette dernière qui me trouble le plus.
    
    Il fait plus noir que je ne l’imaginais. Baiser dans le noir, c’est sympa aussi, mais dans l’exercice qui nous attend, le visuel tient une grande part. Évidemment, nos yeux s’acclimatent et nous pouvons goûter à la clarté de la nuit. Le ciel est magnifique, riche d’étoiles. L’horizon se découpe nettement sur fond galactique. Il n’y a que le bruit de nos pas dans les herbes et le frottement de nos vêtements. Un hululement proche nous fait sursauter. Il n’y a plus de brise et c’est en murmurant, impressionné par le silence nocturne, que j’indique à mes complices que nous sommes arrivés.
    
    — C’est là ! Avançons-nous un peu.
    
    Nous quittons le chemin et nous enfonçons jusqu’aux cuisses dans l’herbe haute. Sous nos pas, le terrain devient plus moelleux. Je connais bien ce petit coin. Pas de chardons, pas d’orties, que des herbes fines et douces qui se couchent facilement.
    
    Lorsque je m’arrête, la blonde fait deux pas de plus en lâchant ma main, se tourne vers nous et se laisse descendre sur ses genoux. D’un geste gracieux, elle ôte son minuscule T-shirt et le lâche à côté d’elle. Ses seins nous apparaissent sous la clarté laiteuse, presque arrogants. Sans un mot, je défais ma ceinture ...
    ... et me débarrasse de mon short et de mon slip d’un même mouvement, et libère ma queue déjà raide qui pointe dans sa direction. Pendant que les deux gars, adeptes du pantalon, regrettent de ne pas être aussi adeptes des tongs, la blonde décolle un peu ses fesses de ses talons et retrousse sa jupe sur son ventre. Elle est nue et se touche l’entrejambe d’une main, et un sein de l’autre. Un putain de cliché, c’est vrai, mais il me vrille quand même le cerveau.
    
    Ses yeux plantés dans les miens et le soupir qu’elle libère, bouche entrouverte, aident beaucoup aussi.
    
    — Approche ! me susurre-t-elle.
    
    J’obéis. Au contact, elle colle son visage sur mon bas-ventre. Attrapant mes hanches des deux mains, elle me tient fermement et se frotte, me respire. Je sens ses joues contre ma queue, son nez contre mon ventre, ses lèvres, son souffle. Elle s’enivre. Puis sa langue sur mes couilles. Sa main droite glisse de ma hanche et attrape, enveloppe, maintient mon gland vertical. Sa langue remonte alors le long de ma verge, déposant de la salive sur toute sa longueur. Putain qu’elle s’y prend bien !
    
    À l’approche des deux compères enfin libérés de leurs textiles, elle me prend en bouche, profondément et sans douceur. Je laisse échapper un râle et ma tête bascule en arrière. C’est une super, car l’accélération me surprend.
    
    Quand je baisse la tête à nouveau, je la vois me sourire avec les yeux. Sa bouche glisse maintenant plus lentement autour de ma queue. Les deux gars sont en mains, et ...
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