1. Quinze jours ailleurs


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fhh, plage, amour, massage, intermast, Oral pénétratio, fdanus, occasion, Auteur: Julos, Source: Revebebe

    ... glacée.
    
    Elle tend la main, prend les revues, commence à feuilleter sur la tablette la première du petit tas pendant qu’il range un peu l’anarchie des revues dans le placard.
    
    — Pas banal, fait-elle en riant tout à coup. Oh, mais c’est tout à fait coquin !
    — C’est ce qu’on nous réclame. Il y a des gens qui lisent ça, qui ne doivent pas oser acheter ces revues et viennent les regarder ici. En principe ça ne doit pas passer dans la salle de bar. En principe. Si ça ne vous convient pas vous me le dites.
    — Si, si, ça va ! Les hommes y sont beaux, au moins. Ils valent le coup d’œil. J’avais pas remarqué qu’ils ont le corps rasé.
    — C’est un peu leste, mais c’est l’esprit maison.
    
    Elle n’ose pas trop interroger l’homme sur la nature de l’esprit maison, mais une petite inquiétude tempère l’excitation qui l’a prise. Elle dit :
    
    — Ça ne me déplaît pas. Ça change des hommes de tous les jours.
    
    Le type rit et sort en lui disant :
    
    — À tout de suite. Si vous voulez partir c’est le chemin inverse.
    
    Il la laisse poursuivre seule sa découverte : des photos de femmes, à moitié nues ou nues exhibant leurs seins, leurs fesses, leurs cuisses, sans outrance, rien d’iconoclaste, presque mode. Les hommes sont là dans la position de potiches, de décor charnu. Certains sont nus, vus de dos.
    
    Elle se dit :J’en ai vu d’autres. Elle va jusqu’au bout d’un second numéro, jette un coup d’œil aux autres exemplaires. C’est du pareil au même.
    
    Il réapparaît sans bruit, tel un acteur ...
    ... écartant le rideau. Il a passé un débardeur qui remplace la veste de tout à l’heure ? Mince et sobrement musclé, tel pourrait être le CV. Il la trouve devant une page suggestive montrant une femme blanche debout de dos, les cuisses écartées entre lesquelles apparaissent celles jointes d’un homme noir aux larges épaules serrant la taille de la femme. De l’art.
    
    — Ça vous va ? demande-t-il.
    — Je m’y fais bien, répond-elle. Y a plus moche.
    — J’en ai d’autres, plus lestes encore.
    — Je veux bien m’instruire.
    
    Il écarte le rideau à nouveau. Elle aperçoit des étagères sur lesquelles il cherche les nouveaux ouvrages qu’il pose à côté du tas précédent. Elle écarte aussitôt les revues du premier tas pour se consacrer à l’examen des nouvelles venues.
    
    — Je vous avertis, c’est plus chaud.
    — Ah oui ! C’est amusant, tous sont masqués.
    — La discrétion est de rigueur.
    — C’est un peu la même chose… Ah, mais non, ça se corse. Il faut tourner les pages, c’est plus chaud en effet. Oh les beaux morceaux. Je suis émue.
    
    Mario se penche, regarde aussi les pages de la revue qu’elle feuillette de plus en plus nerveusement. Des types portant un bandeau sur les yeux, sont à poil, intégralement à poil, de face de dos, ou au repos sur une photo, bandant sur l’autre. Les légendes : la promesse, « le fruit ».
    
    Plus loin, un homme est à genoux entre les jambes repliées d’une femme couchée sur le dos comme s’il s’apprêter à la pénétrer. Son sexe au gland impressionnant est tenu pointé par la femme ...
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