1. I - Liaisons dangereuses (58)


    Datte: 19/08/2021, Catégories: Hétéro Auteur: flyx13, Source: Xstory

    ... voyant qu’ils avaient bel et bien touché le gros lot avec moi, ils ont rapidement appelé leurs collègues pour qu’ils profitent tous de l’aubaine de se vider les burnes et je n’ai pas protesté, bien au contraire, j’en voulais toujours plus ! Et bien j’ai été servie car non contente de rameuter tous les ouvriers du chantier, ils ont aussi appelé et invité leurs amis, ainsi que les amis de leurs amis, à venir leur prêter main forte.
    
    En même temps que je me faisais pénétrer et sodomiser avec vigueur, je pouvais entendre tous mes assaillants dire qu’ils étaient aux anges qu’une si bonne putain soit à leur disposition et ce n’est qu’après un long, très, très long moment, une fois qu’une multitude d’hommes me soit passée dessus, dont certains plusieurs fois, que j’ai plié bagage. J’ai fini par sortir de la camionnette avec les mains, les coudes et les genoux blessés d’être restée tant de temps à quatre pattes, tout comme mon dos et mes fesses, irrités par les frottements sur le sol gravillonneux de la cabine lorsqu’on me préférait couchée pour pouvoir profiter de ma poitrine ; je suis toute transpirante, la peau moite de sécrétions et du sperme dégoulinant de tous mes orifices. Je n’ai même pas eu la force ni la motivation de les empêcher de me remplir, je suis devenue ce dont ils n’ont cessé de me traiter en me ramonant, un garage à bites doublé d’une cuve à foutre, et c’est sans sourciller que je sentais cette chaleur séminale m’inonder jusqu’à me faire déborder, en croisant ...
    ... les doigts pour que cette fois, ma foutue pilule joue bien son rôle.
    
    Ma réticence du début de soirée à avaler le sperme n’a pas non plus fait long feu ; de toute façon, pas moyen d’y échapper quand on vous pince le nez en vous maintenant le visage avec une queue qui vous remplit le gosier et qui vous déverse son plaisir liquide au creux de la gorge. Ma bouche est devenue une station de nettoyage de verges ; je ne saurais dire combien j’en ai sucées, plusieurs dizaines, ça c’est sûr. Je n’en reviens pas moi-même de m’être dépravée à ce point, comme si j’étais soudain devenue une vulgaire catin de bas étages bonne qu’à se faire saillir par tout ce qui posséderait un phallus orné d’une paire de couilles.
    
    J’ai vu défiler toute sorte de bites, des petites et des grosses, des fines et des épaisses, des imberbes et des poilues, blanches, métisses ou noires, elles sont passées l’une après l’autre, voire plusieurs en même temps, par mes trous, mais malgré ces mètres de queue qui ont visité et élargi tous mes orifices, malgré la monstrueuse quantité de foutre que j’ai avalée et dont j’ai été recouverte et remplie, je n’ai rien ressenti du tout. Ça ne m’a pas empêché de beugler comme une furie mais ces cris étaient surtout là pour contenter ces messieurs et leur faire croire que je prenais un pied immense à me faire troncher de la sorte. Toutes les fessées que j’ai reçues ont rendu la peau de mon cul écarlate, mon anus baille, ma chatte est rouge tant elle s’est faite limer et les ...
«12...5678»