I - Liaisons dangereuses (58)
Datte: 19/08/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: flyx13, Source: Xstory
... mettre à le branler rapidement. Sur le coup étonné de ma volte-face, il se laisse néanmoins faire alors que mes gestes et mes coups de langue finissent par l’achever en lui faisant cracher de lourdes et épaisses giclées de sperme qui s’écrasent sur mon visage ; je continue à le lécher un peu en le branlant doucement.
— Pourquoi tu m’as pas laissé jouir en toi bébé ? Je croyais que ça ne te dérangeait pas ; me dit-il en reprenant son souffle.
— Parce que je… je voulais une faciale. C’est un problème ?
— Non non, du tout, mais j’aime bien remplir une bonne chatte bien chaude comme la tienne.
— Et ben tant pis pour toi.
La vérité c’est que maintenant, j’ai une solide appréhension qu’on jouisse en moi malgré le fait que je prenne toujours la pilule. Pourtant, j’aime aussi la sensation de sentir du sperme bien chaud s’écouler en moi, mais même ça, je n’y arrive plus.
— Je peux aller à ta salle de bains ? Lui demandai-je en me levant.
— Oui bien sûr, première à gauche.
Je me penche au-dessus du lavabo pour me débarrasser de sa semence qui larde mon visage, je ne ressens même pas l’envie de la goûter et je me sens même mal en me voyant dans cet état. Putain mais qu’est-ce qui m’arrive, c’est pas possible que je sois à ce point devenue insensible à toute forme de plaisir charnel ; je ne peux pas rester comme ça, il faut que j’arrive à me débloquer et il va donc falloir, pour ça, que je sorte l’artillerie lourde !
Je sors de la salle de bains et retourne ...
... dans le salon pour me rhabiller, Mathieu est en sous-vêtement en train de servir à boire.
— Qu’est-ce que tu fais ? Me demande-t-il en me voyant faire.
— Faut que j’y aille.
— Déjà ? Mais on vient à peine de commencer chérie, tu veux pas qu’on boive un verre avant de remettre ça ?
— Non, j’ai pas le temps, j’ai des choses à faire.
— Ah, euh, d’accord. On se revoit quand ?
— Je sais pas, je te rappelle dès que je peux.
J’attrape mon sac et sors de son appart’ en le saluant à peine. Une fois dans ma voiture, je suis en colère contre moi-même, contre mon corps qui ne sait plus me faire ressentir de plaisir et contre ma tête qui me laisse imperméable à toute forme de jouissance.
Durant toute la fin de journée ainsi que la soirée, je persiste et écume mon répertoire en appelant tous les mecs que je peux et qui sont dispos ; et quand ça n’a plus suffi, j’ai continué à enchaîner les plans cul comme un ivrogne enchaîne les bars, allumant tous les mecs à peu près potables que j’ai croisés, baisant n’importe où, sur la banquette d’une voiture, dans un garage, un parking de supermarché, etc.
Trois ouvriers m’ont sifflée quand je passais près d’un chantier et ils n’en n’ont pas cru leurs yeux et leurs oreilles quand je leur ai montré mes seins et proposé de m’occuper d’eux ainsi que des autres membres de leur équipe. Ils m’ont d’abord baisée tous les trois en même temps, puis un par un, comme une chienne, la tête dans les outils d’une camionnette poussiéreuse, et ...