I - Liaisons dangereuses (58)
Datte: 19/08/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: flyx13, Source: Xstory
... coups de langue ; je sais qu’il aime les pipes bien baveuses et les gorges profondes, je m’efforce donc de le contenter et j’aspire autant que je peux sa queue dans ma bouche, à grands renforts de bruits de succions qui sont rapidement rejoints par ses gémissements de contentement.
— Oooooh ouais putain, c’est trop bon chérie, j’avais oublié à quel point tu suces bien ! Lâche-t-il entre deux soupirs de plaisir.
Je ne m’économise pas et son sexe devient très rapidement aussi raide qu’il peut l’être, bien droit et veiné ; je m’amuse quelques instants à donner de petits coups de langue sur son frein tout en le branlant et dans le même temps, à l’aide de mes doigts, j’agace mon clito afin d’accentuer mon excitation pour bien me faire mouiller.
Une fois ma chatte bien humide, je le chevauche et me caresse un peu avec son gland avant de m’asseoir complètement sur lui. Nous poussons tous deux un long soupir alors que je me mets à sautiller sur lui ; la belle largeur de sa queue étire amplement mes lèvres intimes et je fais en sorte de déguster les sensations que je ressens. Enfin, les sensations… si je suis bel et bien excitée, on dirait que ce que je ressens est atténué, comme s’il y avait un filtre qui ne laissait passer qu’une infime partie de ce que je devrais ressentir. C’est moi qui contrôle la pénétration et je fais en sorte de faire les mouvements dont je sais qu’ils me donnent le plus de plaisir, mais là non, c’est différent. Mouvements lents ou rapides, courts ...
... ou amples, rien n’y fait ; par contre, Mathieu est aux anges et son plaisir à lui est vraiment présent.
— Mets-toi à genoux, j’ai envie de te prendre en levrette ; me dit-il après quelques instants à me lécher les tétons.
Sans un mot, je me lève et me mets à genoux sur le canapé, il s’introduit en moi et me gratifie de ruades rapides et appuyées qui, en temps normal, me feraient grimper aux rideaux, mais pas là. Je me mets à gémir pour la forme car je pourrais tout à fait rester silencieuse tant les sensations que je ressens sont en bernes, comme si j’étais anesthésiée. Je mouille bien et je suis excitée, signe que mon corps est en phase, mais je ne ressens rien, ou très peu, trop peu en tout cas pour me satisfaire. Ça fait très longtemps que je n’ai pas eu à simuler mon plaisir mais je suis contrainte de m’y remettre et mes gémissements feints me paraissent tellement faux que j’en ai presque honte ; Mathieu, lui, est si concentré sur sa levrette qu’il ne remarque rien. Même les quelques gifles qu’il me met de temps à autre sur les fesses me font à peine frémir ; je ne pensais pas avoir un jour à dire ça mais là, je m’ennuie, je m’ennuie en baisant avec quelqu’un qui sait pourtant y faire…
Soudain, je suis tiré de mes pensées par les gémissements de Mathieu qui se font de plus en plus sonores et rapprochés.
— Han putain, j’vais jouir, j’vais bien te remplir, tu vas voir ! Me lance-t-il.
Sans lui demander son avis, je le fais se retirer et je me retourne pour me ...