1. L'amour peut faire mal


    Datte: 16/08/2021, Catégories: hh, hplusag, hagé, frousses, rousseurs, grossexe, hépilé, complexe, ascenseur, amour, hsoumis, humilié(e), vengeance, contrainte, dispute, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, coprolalie, hsodo, uro, confession, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... chienne ? Je suis ta petite salope de femme, tu sais ? Ta petite salope que tu vas féconder !
    
    Comme à chaque fois, les mots « femme » et « fécondation » le rendraient alors fou, et après avoir un peu rendu hommage à ma petite bite en la branlant frénétiquement jusqu’à me blesser de plaisir, il achèverait de me limer furieusement, de me scier, de me limer et je sentirais le moment de bascule où il rentrerait au fond de lui pour trembler un peu avant de jouir en crispant ses mains sur mes hanches en nage.
    
    Les derniers coups de ses reins. La grosse bite qui mollit en moi.
    
    À peine encore capable de contrôler quelques articulations de mon dos pour recevoir sa jouissance finale, bien cambré, je pousserais un dernier petit cri autant de plaisir que de satisfaction :
    
    — J’ai fait le job, il s’est bien vidé les couilles en moi.
    
    Un peu plus égoïste, je sais que d’une main rapide, je me branlerais, jambes tendues. Je sais que je repenserais alors à ce qui viendrait juste de s’achever : à la grosse queue d’Éric en moi, à mon corps empli de sa chair, ployant presque, n’en pouvant plus d’être limé comme ça, d’être ouvert. Et je sais qu’il resterait alors contre moi, debout, qu’il me caresserait le dos, la nuque, le cul, qu’il flatterait mes couilles et ma verge pour aider ma jouissance, côté « pile », à monter. Il me regarderait me vider, il me regarderait me traire les couilles, mes couilles de petite chienne, sur son sol, son tapis, et sur le dos de son canapé. Je sais ...
    ... qu’il dirait des mots comme« t’en avais plein, dis donc, coule, vas-y, coule, purge-toi, ma salope » et sa voix s’éteindrait dans l’espèce de jouissance bizarre mais nécessaire de ma verge, alors rougie par la friction et bandante à moitié.
    
    Il irait à la salle de bain, la bite en banane, toujours si belle, grosse, perdant lentement de son volume et reviendrait, un gant dans les mains. Dans mon rêve, il m’applique un gant de toilette chaude.
    
    On allumerait des clopes et on commencerait à parler, à rire, dans la lueur des chandelles, bien plus courtes.
    
    À l’évocation de tout ça, je m’excitais. Je souriais, m’allumais une clope pour me calmer. J’étais à deux doigts de me doigter sous un porche. La pluie redoublait. Mes jambes commençaient à être cotonneuses, à moins me porter. Tout en marchant, j’envoyais évidemment un message WhatsApp à Éric. Allait-il me répondre ?
    
    Je tremblais un peu en envoyant le message :
    
    À peine le message envoyé, mon cœur s’emballa. Je repensais à mon scénario, puis à notre dernière étreinte, à son gros gland disparaissant dans le secret de mes fesses offertes sous mes cuisses repliées. Un chaste missionnaire. J’étouffais un soupir. Un frisson parcourait mon cul rebondi. Faites qu’il soit libre.
    
    Je recevais presque aussitôt une réponse distanciée de sa part :
    
    Je répondais intrigué :
    
    Il répondit encore :
    
    Pas de rebond sur la blague au sujet de sa mère. Il m’indiqua l’adresse d’un bar, pas très loin, j’y arrivais rapidement. Éric était ...
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