1. L'amour peut faire mal


    Datte: 16/08/2021, Catégories: hh, hplusag, hagé, frousses, rousseurs, grossexe, hépilé, complexe, ascenseur, amour, hsoumis, humilié(e), vengeance, contrainte, dispute, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, coprolalie, hsodo, uro, confession, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... sois.
    
    Il commença par reparler de son projet d’atelier, que je pourrais vivre nu ou habillé en femme chez lui, qu’il m’aimerait comme jamais on ne m’a aimé. J’étais son prince et sa déesse. Moi, j’encaissais sa verge, couché sur le côté. J’avais l’impression d’être une boîte de sardines à l’huile éventrée, vide, roulant dans les rouleaux d’une plage de sable fin de la baie de Somme. Après la dissipation des effets du poppers, je reprenais petit à petit le contrôle de mon corps, et de notre étreinte. Doucement je tournais et sans le perdre, je me glissais sur le dos. Couché sur le ventre, je le sentais entièrement en moi, fiché. Il reprenait doucement, attentif, ses profonds va-et-vient, lancinants et habiles comme un archet de violon, me sciant toujours, mais dans une ponctuation de délice.
    
    Alors lentement je me cambrais et la tête perdue dans mes mèches folles, je lui offrais ce qu’il désirait : mon cul tendu au point final de la courbe de mon dos, ouvert, creusé en virgule renversée.
    
    Cambré, sa verge était prise en moi. Lancinant, précieux métronome, il fouilla en moi. L’archet de son sexe parcourait, cisaillait la caisse de résonnance opaline de ma chair, ce violon-giron formé par mon corps. Il saisit mes hanches, enfonça ses ongles dans ma chair, me ploya des mains et je rugis :
    
    — Han ! Han ! Baise-moi, mon amour ! Ouvre-moi, ouvre mon cul ! Je suis à toi, je suis ton petit prince du sexe, je suis ton trésor et tu me fends, tu me parcours. Je suis à toi ! Han ...
    ... ! Ha !
    
    J’effondrais ma tête dans les coussins, cul tendu vers lui, à lui, pour lui, à la lune, rampe renversée pour son plaisir. Je le sentais apparaître et disparaître au secret de mon globe, de mon anus, de ce couloir dont il parcourait la route secrète maintenant plus large par la présence de son vit puissant. Il me parcourait en maître absolu, maître et possesseur, les mains ancrées dans ma chair attendrie par le plaisir.
    
    Puis il se contracta et les spasmes vinrent, se communicant par sa verge à mon cul. Il venait en moi. Je le sentais. Sa queue se contractait et se relâchait. Ses giclées de liquide fécond venaient et mouraient, retenues par l’affreuse capote. J’aurais tué pour qu’il coule vraiment en moi, que ses giclées inondent l’intérieur de mon anus dilaté. Ramolli, il se retira, enleva la capote qui venait de lui servir d’écrin et s’allongea. Je me repliais comme une vestale, à genoux, les jambes repliées sous mon buste droit, perpendiculaires à lui. Je contemplai sa verge, encore. Il caressa mon cul. Je dépliai mes jambes en équerre, dressai mon buste, sa main gauche dansa sur les deux globes de mes fesses nues. Nos corps à peine éclairés étaient toujours bleu-gris. Je commençai à me masturber.
    
    Ma main gauche vint se poser sur son sexe.
    
    Je le caressais, encore, toujours, ce gros sexe tant désiré et maintenant assagi. Je me fis plus pressant à mesure que le plaisir montait en moi.
    
    Je finis par me reculer pour mieux, voûté comme un arc, baiser de mes ...