Retour de bâton
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
vengeance,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... je n’ai eu l’occasion ou l’envie de me… Tais-toi, pensé-je ! Tu n’as jamais rien fait qui puisse te sortir du chemin tout tracé d’une vie calibrée de mère de famille et d’épouse aux bons soins d’un mari censé apporter le nécessaire et le superflu dans le ménage. Une telle conception du mariage doit être à cent lieues de celle des jeunes de maintenant.
La seconde c’est l’odeur. J’y retrouve celle que mes culottes conservent après un usage de la journée. Souvent je me surprends à renifler ce parfum, signe que la lingerie doit passer au lavage. Un éclair me fait comprendre qu’en réalité, sous l’excuse de l’hygiène, je sentais cette odeur pour la sensation. En réalité je retrouve chez Assia un parfum enivrant qui me trouble.
Sa main me force au contact avec sa chatte mais je n’ai pas besoin de cette contrainte. C’est naturellement que je hume cette flagrance si caractéristique. Je me plonge avec délice dans ces buissons où chaque brindille garde la trace de sa maîtresse. Je lèche. Je suce. J’aspire. Pour un peu, j’y plongerais les doigts afin de récolter le suc intime. Seule la pensée de cette virginité préservée, pour qui, pour quoi, me retient.
Assia change de comportement. Ses mains abandonnent ma tête pour se porter sur mes seins qu’elle malaxe et torture à l’envie. Même ses cuisses s’écartent pour me laisser un libre accès à son sexe.
Soudain, je sens que derrière moi quelque chose se prépare. Medhi a dû retrouver sa vigueur par notre spectacle. Sa queue trouve ...
... le chemin de ma chatte, boulevard largement ouvert et glissant que son vit découvre. C’est autrement plus ouvert que mon petit cul qui a été honoré par lui pour une première fois.
Il me bourre maintenant sans retenue, encouragé par son amie qui a retrouvé la parole.
— Baise-la pendant qu’elle me suce, lui ordonne son amie, toujours aussi délicate.
Peu importe. Elle fait la maline mais ce qui coule de sa chatte et que je déguste pour la première fois de ma vie, n’est pas de la transpiration. Non, c’est plus crémeux, plus odorant, presque huileux. Ainsi, c’est cela le jus de la femme ! Je me promets de goûter le mien dès que je pourrai.
Medhi s’active toujours. Ma bouche glisse entre les cuisses de son amie sous ses coups de piston. Il se retire et l’instant suivant c’est dans mon cul qu’il entre. Là, c’est une autre musique. Le chemin est plus étroit et je sens parfaitement son vit avancer et reculer. C’est plus fort, plus intense que dans mon vagin que la maternité a laissé un peu distendu. Je voudrais qu’il ne s’arrête jamais. Je sens maintenant que la jouissance monte et que mon cul peut être plus sensible que le chemin classique.
Enfin il se libère dans sa capote. Oh ! Combien j’aurais aimé sentir son foutre se rependre dans mes entrailles. C’est un plaisir qui m’est refusé. Et toi, Mari volage, as-tu toujours été assez prudent pour ne pas me polluer par ta bassesse et ce que ta poufiasse pourrait te transmettre. J’espère que jamais tu ne t’es laissé aller à ...