Retour de bâton
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
vengeance,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... couleur, le reste de la tenue, robe grise, se charge de donner une impression de rigueur qui hurle "Hors de mon chemin".
— C’est pour avoir la paix dans mon quartier, me dit la fille en voyant ma surprise.
Medhi est juste derrière moi. Ils s’embrassent. Elle enlève son voile et la robe austère. Je découvre une jeune femme fière de sa féminité et qui l’affiche par une tenue moderne, chemisier et jupe.
Ainsi, j’ai devant moi la parfaite représentante du choc des cultures. Voilée mais sexuellement libérée avec son ami. Libérée mais refusant sa virginité même si elle donne en contrepartie son petit cul à Medhi.
Contradictions !
Elle nous suit dans le jardin. En l’attendant, j’ai préparé un en-cas avec l’aide de Medhi. Medhi que je regarde d’un autre œil. Medhi qui n’a cessé de se coller à moi, de m’embrasser, de me cajoler. C’est très agréable. Maintenant qu’Assia est avec nous, il est plus sur la réserve.
— Alors, tu t’es fait une bourgeoise ?
Je ne m’attendais pas à une telle crudité de langage. Mais sans nous laisser le temps de réagir, elle se tourne vers moi.
— Alors ? Il a été comment mon Medhi ? C’est un bon, hein ?
Je vais répondre sèchement que ce ne sont pas des manières, mais je me retiens, consciente du ridicule de ma réaction bourgeoise après ce qui vient de se passer. La fille, tourne autour de moi. On dirait un maquignon évaluant une vache, ou une maquerelle estimant une nouvelle recrue.
— Faut reconnaître qu’elle est bien ...
... conservée.
Et elle me palpe.
— Oh, montre voir tes nichons. Ce n’est pas des vrais. Madame s’est faite gonfler. Tu avais remarqué, Medhi ?
Joignant le geste à la parole elle m’enlève le chemisier, libérant ma poitrine.
Ses mains se font plus douces et jouent avec mes seins.
— Elle démarre au quart de tour, ta bourgeoise, remarque Assia.
Comme je ne dis rien, honteuse, non en réalité curieuse de la suite, elle enlève le reste de mes vêtements. Me voilà nue, dans mon propre jardin, objet ou les regards se concentrent.
— Tu as vu, elle est épilée. Mon pauvre Medhi, elle ne connaît pas le goût secret que les femmes peuvent offrir à leur amant. Tu as goûté à sa chatte ?
Le pauvre Medhi est entre deux feux. Reconnaître qu’il a eu du plaisir avec moi, c’est froisser son amie. Approuver les remarques d’Assia, c’est se comporter en goujat. Il se tait.
— Attends, je vais lui montrer.
Assia me tire par le cou. Elle s’assied sur la table de jardin, baisse sa petite culotte et me fait pencher sur son intimité.
— Suce. Montre-moi comment tu fais avec les femmes. Les vraies. Celles qui fleurent la féminité.
De maîtresse de maison, bourgeoise qui reçoit chez elle, me voilà transformée, par la seule volonté d’une gamine, en gourgandine, encore que ce mot ne signifie pas grand-chose pour ces jeunes.
La première chose qui me surprend c’est la forêt de poils, à la fois fins et frisés. Dieu m’est témoin que je n’ai jamais approché de si près du sexe d’une femme. Jamais ...