1. Retour de bâton


    Datte: 15/08/2021, Catégories: fh, fhhh, extracon, vengeance, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, attache, yeuxbandés, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... qui a assisté à notre échange a bien remarqué le malaise de cette conversation et sans doute pour détendre l’atmosphère, lance.
    
    — Eh bien, je vais pouvoir rester toute la nuit !
    
    Sa blague me fait sourire et je réponds.
    
    — Au moins tu as de la suite dans les idées. Mais je t’ai dit, tu es trop jeune.
    — Pourquoi trop jeune ? J’ai de l’expérience. Vous ne serez pas déçue.
    
    Je continue de sourire. Il doit prendre cela comme une invitation et dit.
    
    — Tenez ! Deux minutes. Laissez-moi deux minutes.
    
    Il avance.
    
    — Je suis trop jeune ! D’accord, alors si je fais cela. Vous permettez ?
    
    Il est tout près. Il tend ses mains vers ma tête. Il attrape le bandeau qui m’aide à fixer mes cheveux pour dégager le front et éviter les marques de bronzage disgracieuses, pour le faire glisser sur mes yeux.
    
    — Et maintenant, j’ai quel âge ?
    
    Il me susurre dans l’oreille alors que ses lèvres caressent mon cou, juste sous le lobe de l’oreille qu’il suce doucement. Je frissonne. Il s’enhardit. Ses lèvres viennent au contact des miennes. Il sent la menthe. Étrangement il ne m’embrasse pas, mais couvre mon visage de baisers, du front au menton dans une série de caresses si tendres qu’elles me surprennent. Enfin ses mains se posent sur moi. J’ai déjà rendu les armes. Au diable sa jeunesse. Au diable mon mari et sa poufiasse. C’est un amoureux qui est avec moi.
    
    Notre premier baiser est d’une délicatesse inégalable. Moi aussi je le tiens dans mes bras. C’est progressivement que la ...
    ... sensualité monte. Sans nous quitter, chacun défait les vêtements de l’autre. À chaque morceau de tissu qui saute, c’est une surface de peau qui vient contre une autre.
    
    Nous sommes nus, nos langues sont maintenant des serpents déchainés et les amants sages sont devenus fougueux. Son sexe est un bâton contre mon ventre. Ma main va le chercher et l’explorer, découvrant une tige longue et étroite que je branle doucement. Lui joue avec mes seins, s’insinue entre mes cuisses, poussant même un doigt explorateur dans ma fente. J’ai vingt ans. Mon amant aussi. Il est délicat et expérimenté. Pas de mouvement grossier ou de main trop intrusive. Je veux aller goûter son bâton. Mais il me retient.
    
    — Non, plus tard. Nous avons la nuit. Je veux te prendre.
    
    C’est une voix qui a perdu le timbre de la jeunesse. C’est un homme mûr qui me parle.
    
    Il me guide. Quelques pas et je bute contre la table de jardin. Il me fait pencher sur elle. Mes seins ressentent aussitôt la chaleur emmagasinée par le bois. Mon amant dirige chacune de mes mains pour qu’elles viennent s’accrocher au bord, de chaque côté de la table. Je suis plaquée, bras en croix. Il ne manque que les jambes écartées pour devenir une femme soumise, attendant la saillie. C’est la tête de Medhi qui s’en charge. Ses mains m’écartent, sa bouche court tout au long de ma fente et remonte jusqu’à l’anus. Il s’attarde longuement sur lui, redescend, remonte. Sa langue me caresse divinement. Il a la connaissance du corps de la femme. ...
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