1. Moi Maryline 1Ferdinand


    Datte: 22/05/2018, Catégories: Masturbation Première fois Auteur: mayday3415, Source: xHamster

    ... soutien-gorge très sage, mais surtout et c’est le pire, mes tétons déjà gros (ça aussi je l’ai dit plus haut) qui de plus se sont tendus au contact de l’eau froide.
    
    Vraiment en toute innocence, je me retourne vers Ferdinand et lui demande si j’ai bien tout enlevé. Son regard est totalement hypnotisé par le spectacle que j’offre involontairement. En moins de cinq minutes, il a vu ma petite culotte et il découvre maintenant mes seins et mes tétons. Son visage devient rouge brique et il bégaie
    
    - Il en reste un peu là, je vais te l’enlever.
    
    Il saisit le tissu d’une main tremblante et le plaque sur ma poitrine. C’est bien sûr le moment que choisit le bouton de la décence pour se désolidariser de la boutonnière et de moi par la même occasion (le traître). J’ai une pensée furtive et idiote, « les boutons ont une conscience ».
    
    En attendant Ferdinand, frotte avec entrain mon chemisier et soyons franche, je commence à aimer ça, moi qui je le rappelle est vierge et me contente de jeux solitaires, le soir dans la pénombre complice de ma chambre. Il semble que je ne sois pas la seule à apprécier si j’en juge par la protubérance pas très grosse, mais ne soyons pas difficile, qui tend le devant du pantalon de Ferdinand.
    
    Est-ce la chaleur de ce jour d’été, je ne sais pas, mais prise d’une envie violente, je lui intime,
    
    - Ouvre donc mon chemisier et tache de sécher un peu mon soutien-gorge !
    
    Ferdinand ne se fait pas prier et ses doigts malhabiles, déboutonnent plus ...
    ... que de raison mon chemisier, arrachant presque le bouton du bas. Enhardi par mon attitude qui à l’évidence montre que je souscris pleinement à son initiative, il sort mes seins des balconnets et se met à les téter tour à tour avec ardeur. Mes bouts deviennent durs et incroyablement plus longs que quand parfois je les titille. Ils sont indécents, tendus brûlants et durcis de désir. La bouche occupée avec un sein, une main qui s’occupe de malaxer l’autre pour ne pas faire de jaloux, Ferdinand plonge la main libre sous ma jupe qu’il trousse et sans faire plus de manières (il cachait bien son jeu le salopard) saisit ma chatte comme un fruit juteux. C’est vrai que juteuse elle l’est ! Je mouille comme une salope et j’adore ce qui m’arrive. Je suis contente d’avoir la veille au soir fait la tonte de printemps ne laissant qu’une courte toison en triangle sur mon sexe qui est bombé joliment et finement fendu, ne laissant voir le bout de mon clitoris que quand je l’excite dans mes jeux solitaires.
    
    A mon tour, je desserre la ceinture du clerc, je déboutonne en un tour de main (comme si j’avais fait ça toute ma vie) sa braguette et libère d’un vilain slip kangourou heureusement très propre, son sexe pas très gros ni très long je le constate, mais qui pour l’heure me convient parfaitement puisque je n’en ai touché aucun autre auparavant. La petite bête est cependant vigoureuse, noueuse et très dure et j’ai une pensée pour son slip que j’ai critiqué, alors que je suis moi en culotte ...