1. Moi Maryline 1Ferdinand


    Datte: 22/05/2018, Catégories: Masturbation Première fois Auteur: mayday3415, Source: xHamster

    Je m’appelle Marilyne Grisol et oui je sais, mon prénom vous rappelle quelque chose ! Ma maman disait souvent à mon père avec humour, mais aussi une pointe d’agacement dans la voix,
    
    - Tu as insisté pour ce prénom, parce que tu as toujours fantasmé sur « la poule » du président américain.
    
    Ce n’était pas faux en fait. J’ai été élevée dans le pavillon de banlieue qu’ils avaient acheté en s’endettant sur 25 ans et qui même s’il était sur le standard des maisons voisines, un peu copiées collées les unes et les autres, c’était pour eux leur château et leur réussite et leur havre de paix.
    
    J’ai grandi tranquillement, entre un père comptable dans une grande entreprise et une mère au foyer. Notre vie était ordinaire, mais elle ne me déplaisait pas c’était la nôtre. Je suis une femme banale de taille moyenne avec des rondeurs partout, entendez que j’ai des cuisses altières, un cul rebondi, des seins généreux aux tétons assez gros et des lèvres charnues. Mon visage est banal, ni beau ni laid et je n’ai jamais eu le goût du maquillage ni des tenues qui auraient pu mettre en valeur mon corps. Si nous étions à la campagne, on pourrait dire que je suis un joli poulet élevé au bon grain.
    
    Du vivant de mes parents, (ils sont morts la même année quand j’avais 38 ans) je n’avais eu qu’une seule expérience sexuelle et encore si on peut dire ça !
    
    Je travaillais déjà à l’étude de Notaire Barentin et fils comme secrétaire et le notaire avait installé son fils dans le cabinet après ...
    ... qu’il ait eu son diplôme. C’était un garçon un peu rondouillard et boutonneux qui rougissait dès que je lui parlais. Pour moi ce n’était qu’un collègue sans plus et le fait que nous partagions le même bureau faute de place, ne changeait rien à la chose. Je ne pensais pas aux garçons et je calmais mes envies sexuelles naturelles à ma manière, mais ça on en parlera plus tard.
    
    Un jour maître Barentin nous dit qu’il serait absent toute la journée, devant aller à Paris faire signer des actes à une cliente, comme cela lui arrivait régulièrement. Il nous confia nos taches de la journée et nous demanda de travailler ensemble sur le classement des pièces d’un très gros dossier qui devait être bouclé avant la fin de la semaine.
    
    Il faisait chaud en ce jour d’été et pour une fois, j’avais mis une jupe qui toutefois m’arrivait aux genoux, cachant mes rondeurs, du moins le pensais-je, puisqu’elle était large tout en étant légère et je portais un chemisier bien boutonné qui ne laissait rien voir de plus que le début du sillon de mes seins, comprimés dans mon soutien-gorge blanc sans fioriture.
    
    Après le départ du notaire, nous décidâmes d’un commun accord, de faire nos tâches courantes le matin et ensuite après le repas, que je prenais soit dans une brasserie proche, soit dans la petite office attenante à mon bureau, une pièce étroite, sans charme dans laquelle trônait un micro-ondes sur un frigo top près d’une petite table en formica blanc à pieds en inox des années 70, parée de deux ...
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