1. Moi Maryline 1Ferdinand


    Datte: 22/05/2018, Catégories: Masturbation Première fois Auteur: mayday3415, Source: xHamster

    ... chaises du même acabit, dont l’une avait un pied un peu bancal car il manquait le caoutchouc de protection remplacé depuis des lustres par un sous-boc d’une bière belge. Il y avait également dans un angle un petit évier surmonté d’une lucarne au verre dépoli qui ne permettait même pas de voir à l’extérieur et que je n’ai jamais ouverte. Je n’y venais que les jours ou la charge de travail était importante et j’avais toujours dans le réfrigérateur quelques plats à réchauffer et des yaourts. Je décidais ce jour-là compte tenu du surcroit de dossiers à traiter, de rester sur place et à midi, je me rendis dans la petite salle que pompeusement nous appelions la cantine. En ouvrant le frigo, je vis que Ferdinand, oui j’avais oublié de dire qu’il est affublé d’un prénom vieillot et guindé comme l’est son père et comme il est en train également de le devenir, donnant toujours l’impression d’avoir un balai coincé dans le fondement, avait lui aussi mis de quoi se restaurer dans le frigo.
    
    C’est donc de concert que nous préparâmes nos plats à réchauffer. Passés à table nous mangions en silence et j’avais malheureusement hérité (c’est normal chez un notaire) de la chaise branlante (n’y voyez aucun e allusion !).
    
    Je voyais bien tout en avalant mon lapin aux petites carottes que le jeune clerc glissait des regards en douce, plus vers mon chemisier pourtant bien boutonner que vers mon visage. Dès que je le regardais, il se mettait à rougir et reprenait sa mastication lente d’un plat ...
    ... que je n’identifiais pas dans le genre daube ou ragout.
    
    Mon plat de résistance fini, je saisis sans me lever un fromage blanc, n’ayant qu’à tendre le bras pour ouvrir le frigo. Ferdinand alors que j’avais entamé mon yaourt et que je portais une cuillère à mes lèvres, vous vous souvenez les lèvres charnues qui sont le seul élément marquant de mon visage ! Ferdinand donc en se levant accroche involontairement le bord de la table et je me recule par réflexe oubliant que ma chaise est bancale. Résultat de courses je me retrouvé étalée par terre les cuisses toujours accrochées à l’assise de ma chaise et généreusement ouvertes sur ma culotte petit bateau, tandis que le yaourt se repend sur mon chemisier.
    
    Confus Ferdinand se précipite et n’en perdant cependant pas une miette, me tend la main sans trop de précipitation, pour m’aider à reprendre une station verticale. A peine debout je mesure l’ampleur des dégâts sur mon chemisier qui dégouline de yaourt entre mes seins. Je n’ai pas d’autre choix que de me tourner vers le petit évier au bas duquel à la porte du placard est accroché un essuie mains. Je détrempe un angle du tissu et après avoir enlevé le trop plein de fromage frais avec ma petite cuillère, entreprend de supprimer la tâche avec de l’eau froide. Les laitages ça ne tâche pas vraiment, évidement. L’eau par contre sur un chemisier blanc en coton fin, a un tout autre pouvoir. Me voilà donc sans plus aucune tache mais avec un chemisier devenu transparent qui dévoile mon ...
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