Pour quelques pizzas de plus... - Histoires de Sexe

Pour quelques pizzas de plus...

... mange, et puis on fait encore l’amour tous les quatre, d’accord ?

En souriant, j’insistai des yeux envers Azura, pour avoir une réponse. Mais la voix poétique de Bazouk s’éleva soudain :

— Pour ma part, je pense que…
— On s’en fout ! l’interrompis-je vigoureusement.

Il était resté silencieux pendant presque deux heures, il pouvait bien se la mouler encore un peu… Je continuai de fixer Azura. Gênée et rougissant presque, elle finit par me dire :

— Oui, ça paraît être une bonne idée…
— Super ! déclara Aurélie avant de nous annoncer avec dignité : Moi je vais prendre une douche. Gufti, tu prépares un truc à bouffer ? Fouille dans les placards, tu verras bien ce qu’il y a…

J’acquiesçai. Sous nos yeux fatigués, elle sortit vers le petit couloir qui menait vers sa salle de bains. Je m’avachis un peu plus dans le canapé, passant une main derrière chacune de mes divines compagnes, qui se serrèrent presque amoureusement tout contre moi et m’embrassèrent dans le cou, tandis que je leur caressais le haut du dos. Mais Aurélie revint soudain et demanda d’un air nébuleux :

— Les filles, ça vous dit de venir à la douche avec moi ?

Pandore et Azura la regardèrent un instant fixement, se demandant apparemment si c’était bien à elles qu’elle s’adressait, puis elle tournèrent vers moi des yeux embarrassés, comme si elles avaient voulu que je réponde à leur place.

— Ah ben vous faites bien comme vous voulez…

Je regardai mollement vers ma bite puissamment ...

... décontractée et ajoutai :

— De toute façon, pour l’instant, je ne serai d’aucun secours à personne…

Mais Bazouk se sentit sans doute soudainement investi et expliqua :

— Si tu veux, je peux te rendre ta virilité.
— Oh oui ! applaudit Aurélie.
— C’est ça ! Avec un de tes sorts permanents, pour que j’aie la gaule toute la journée…
— Oh oui !!! ovationna Aurélie.

Je la regardai d’un air dominé ; et même Azura et Pandore, à mes côtés, souriaient chaleureusement.

— Non ! Occupe-toi de ta théière ! Et vous, allez prendre votre douche, je vais préparer à bouffer.

Mes nymphes se levèrent et suivirent Aurélie dans le petit couloir, sans même prendre le temps de ramasser leurs fringues qui traînaient. Elles s’enfermèrent dans la salle de bains.

— Ah là là ! J’hallucine !

Je me levai à mon tour, et commençai par regrouper tous les habits sur le canapé.

— Ces filles sont bordéliques ! racontai-je à qui voulait m’entendre (donc à Bazouk…). Heureusement qu’y a un mec pour mettre un peu d’ordre dans tout ça…
— Tu ne devrais pas te laisser commander par cette femelle… déclara-t-il en retour.
— Mais je t’emmerde ! lui rétorquai-je avec application.

Devant sa mine déconfite, je développai :

— Bazouk, je te suis très sincèrement fortement reconnaissant de beaucoup de choses depuis ce matin, mais y a des moments où il faut s’arrêter, tu comprends ? Là, je pense que le mieux que tu aies à faire, c’est de rentrer dans ta théière jusqu’à nouvel ordre, d’accord ? Je te ...