Pour quelques pizzas de plus...
Datte: 22/05/2018,
Catégories:
fff,
fagée,
voisins,
Humour
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... j’ai commencé à vouloir faire l’amour avec Azura. Nous sommes partis en hâte, en fauchant deux ensembles de sous-vêtements tandis que la vendeuse appelait la police à son tour.
Résumé de l’épisode 5 : comme on était tout près de chez Aurélie, une de mes amies avec qui il m’arrivait de passer du bon temps, je me suis dit qu’on pourrait finir la journée chez elle, et que peut-être, elle pourrait même nous ramener chez moi (car je ne voulais toujours pas faire appel à Bazouk). Mais en chemin, nous nous sommes fait agresser par une bande de crétins qui avaient flashé sur Azura et Pandore. J’ai été obligé d’appeler mon génie à la rescousse, qui nous a sortis de ce mauvais pas grâce à un puissant sortilège d’apaisement, aux effets assez inattendus. Mais hélas, impossible de le faire retourner dans sa théière ! Arrivés devant chez Aurélie, celle-ci s’est montrée jalouse de mes deux compagnes et n’a pas voulu nous laisser entrer. Un nouveau sort d’apaisement a toutefois eu raison de sa résistance et l’a également rendue folle amoureuse d’Azura et Pandore. Mais Bazouk a aussi malencontreusement « apaisé » la mère d’Aurélie, qui s’est immédiatement mise à me courir après pour « s’offrir à moi ». Elle a finalement trouvé refuge chez des voisins alléchés par les mots crus qu’employait la sexagénaire pour tenter de me séduire. Aurélie nous a enfin accueillis chez elle, où nous nous sommes jetés tous quatre sur le canapé pour une orgie démoniaque.
Une heure et demie plus tard, nous ...
... étions parfaitement affalés, tous complètement nus et absolument épuisés, sur le canapé d’Aurélie, sauf Bazouk qui montait toujours vigoureusement la garde, debout dans sa théière aux confins du salon. Nous discutions tranquillement ; Aurélie avait d’abord tenté de demander à ses nouvelles meilleures amies ce qu’elles faisaient dans la vie, ce à quoi elle s’était vu répondre quelque chose comme : « Notre existence n’a d’autre but que le bonheur de notre Gufti adoré… » qui l’avait quand même calmée grave.
Du coup, on en était venus à parler de Bazouk, de ce qu’il était, de comment il était arrivé, des merveilles qu’il avait réalisées jusque-là. J’avais relativement confiance en Aurélie, et je savais qu’elle était prête à entendre presque tout sans venir me faire chier après. Elle écouta avidement l’histoire de la « création » d’Azura et Pandore, puis les frasques de Bazouk contre les gendarmes, et pour finir la chevauchée vers la ville et notre aventure dans le supermarché. Elle était mi-abasourdie mi-fascinée ; presque jalouse, aussi, par moments.
Elle réalisa aussi (ou le savait-elle déjà, je ne saurais dire) qu’elle avait été victime d’un envoûtement de notre puissant mage, car elle me demanda :
— Et les sortilèges, ils durent longtemps ?
Je haussai les épaules. J’en savais strictement rien. J’interrogeai Bazouk à mon tour :
— Dis, mon gros, ton sort d’apaisement, il dure combien de temps ?
— Son effet est permanent.
— Remarque, répondit Aurélie en regardant ...