Miroir. Ô mon miroir !
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
jeunes,
couple,
cocus,
boitenuit,
miroir,
Oral
double,
Partouze / Groupe
jouet,
confession,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... pour la première fois, tu es à l’aise !
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Vivianne est reconnue par le personnel et même certains clients lui font des signes de reconnaissance. C’est évidemment elle qui me guide dans cet endroit où tout respire l’érotisme avec cette pièce et sa piste de dance, ce bar et ces fauteuils. C’est comme on peut le lire, mais en plus fort. Certains couples sont si avancés qu’ils sont déjà partiellement nus, mais ce ne sont pas les plus « attirants ». Non, ce sont ceux qui dansent, collés l’un à l’autre, parfois à trois, une femme faisant un pont entre deux hommes. Ceux dont on voit les mains caresser, disparaître sous un corsage, sous une jupe, contre un pantalon qu’on devine déjà déformé.
Des couples qui nous invitent. Elle est magnifique dans ces bras enveloppant. Elle fait très « class », parfaitement maquillée et coiffée. Même sa robe est parfaite. Assez moulante pour la mettre en valeur. Mais pas trop pour la faire « Pute ». D’autres femmes portent des tenues provocantes et cela leur va bien. Mais je sais aussi que sous la robe, elle ne porte rien. Vivianne est une bourgeoise qui vient se délurer et c’est ce qui attire les hommes. Moi, on m’invite aussi. Personne ne s’étonne que nous soyons ensemble, pourtant presque quarante années nous séparent. Mais elle fait si jeune !
Nos partenaires deviennent plus audacieux. Si elle passe pour une bourgeoise, moi, je dois passer pour un jeunot qu’elle éduque et que d’autres peuvent en profiter.
Bien ...
... sûr que j’apprécie tous ces hommages. D’ailleurs je bande assez pour que celle qui me caresse découvre le résultat de son œuvre. Mais je n’arrive pas à quitter Vivianne des yeux. Elle aussi et nos regards se parlent. Elle est si belle !
Et puis une envie subite. J’abandonne ma cavalière, j’arrache ma proprio des bras qui l’enlacent. Elle ne proteste pas. Je l’entraîne vers cette porte qui, elle me l’a expliqué, conduit aux lieux secrets ou câlins et plus, s’échangent.
Dans le sas qui sert de vestiaire chacun se déshabille sans un mot. Elle sourit alors que je m’approche d’elle et que pour la première fois nos corps se touchent. Je connais tout d’elle. Elle connaît tout de moi. Pourtant c’est comme une découverte. Ses seins qui se pressent contre mon torse. Son pubis qui moule ma queue. Et nos lèvres ! Et nos langues ! Et ce premier baiser d’une fougue non retenue.
— Viens.
C’est elle qui m’entraîne maintenant. Un rideau repoussé. Un couloir avec des portes. Des pièces, des lits, des couples, des gémissements, des cris.
Une grande pièce avec un lit circulaire gigantesque. Deux, non trois couples l’occupent déjà. D’autres regardent.
Elle s’allonge. Je me précipite pour la caresser, la sucer, la lécher. Enfin ma langue connaît le goût de sa chatte. Enfin mes lèvres découvrent cette pointe si timide.
Que c’est beau de l’entendre. Je sais que c’est elle et pourtant d’autres femmes montrent aussi leur plaisir.
Et puis elle se lève. Elle me pousse sur le lit. ...