1. Une découverte inattendue


    Datte: 21/05/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, inconnu, fsoumise, jalousie, Oral Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Citadin57, Source: Revebebe

    ... levrette, et avoir en même temps une grosse queue à sucer, qu’elle aimait beaucoup le sperme.
    
    Jean s’aperçut alors que cette jeune femme était une vraie libertine, assumant parfaitement sa sexualité. Jean était curieux, excité et, pour tout dire, intéressé par cette belle femme. Ils flottaient maintenant tous les deux dans une dimension parallèle.
    
    Sans en dire davantage, Sandrine se leva, prit Jean par la main et l’emmena dans sa chambre. Jean se laissait guider, incapable de prendre une quelconque initiative. Sandrine s’amusait beaucoup de cette situation nouvelle : faire connaître l’adultère à un homme. Dès leur arrivée dans sa chambre, Sandrine, d’autorité, plaqua Jean contre le mur, s’agenouilla devant lui pour le sucer. Il avait une belle queue ce Jean, normalement longue mais particulièrement épaisse. « Qu’il doit être bon d’avoir un tel calibre dans le postérieur », se dit-elle.
    
    Jean, lentement mais sûrement, commençait à se désinhiber. La main droite sur la tête de Sandrine, il imposait maintenant le rythme de la fellation. Tout en le suçant, la belle Sandrine caressait du bout de ses ongles les bourses velues de Jean. Ce dernier faisait un effort surhumain pour ne pas éjaculer immédiatement : cette pipe était si douce, si onctueuse. Tout en le suçant, Sandrine regardait sa proie dans les yeux. Elle aimait beaucoup cette position paradoxale de femme soumise, à genoux devant un homme mais en même temps en position de force parce que tenant l’homme par ses ...
    ... attributs les plus sensibles : l’esclave ne l’est-il pas par sa seule volonté de soumission ?
    
    Sandrine, en experte de la fellation, sentait bien que Jean était à la limite de sa résistance. Lui caressant les couilles d’une main et le masturbant de l’autre, elle lui dit d’une voix douce qu’elle avait envie de boire son sperme. Cette annonce fit à Jean l’effet d’une décharge électrique et il éjacula immédiatement en une multitude de jets dont Sandrine avala une partie et dont l’autre partie finit sur son doux visage.
    
    Jean était comme sonné. Jamais il n’avait connu une telle jouissance. Ce qui le troubla le plus, outre l’infini plaisir que lui procura cette pipe, furent les images de son épouse qui se bousculèrent dans son esprit au moment de sa jouissance : il se rendit compte que d’avoir vu ainsi sa femme prise comme une vraie pute, traitée comme une traînée l’avait vraiment excité. Il en fit part à Sandrine.
    
    Cette dernière partit dans un grand éclat de rire : elle n’était pas étonnée. Pour elle, il s’agissait là d’une situation qui n’avait rien de particulier : elle lui expliqua qu’au niveau d’un couple, les apparences étaient souvent trompeuses et que de nombreux couples parmi les plus calmes étaient intérieurement secoués par de telles envies, que leurs deux composantes n’osaient avouer de peur de choquer et créer une situation de rupture.
    
    En fine psychologue, Sandrine finit par conclure que la belle Odile avait fini par céder à une profonde envie de débauche où ...
«12...6789»