Une découverte inattendue - Histoires de Sexe

Une découverte inattendue

... situation évidente.

Elle avait fait mouche. Ce bel homme avait tressailli lors de cette dernière remarque. Il semblait tout à coup ailleurs. Prenant son courage à deux mains, il lui raconta tout, n’oublia aucun détail, ne laissant place à aucune incertitude si ce n’était qu’il ne savait maintenant que faire. Les yeux de la jolie Sandrine avaient brillé lorsqu’il avait évoqué la sodomie et sa femme prise en sandwich.

Depuis la fin de son récit, elle semblait d’ailleurs ne plus tenir sur sa chaise. Il remarqua par la même occasion qu’elle ne portait pas de soutien-gorge ce qui laissait voir une très agréable ondulation sous son chemisier.

Sandrine prit alors un air coquin et mutin, elle posa délicatement sa petite main sur celle de Jean et lui dit simplement que sous les femmes les plus timides et les plus classiques se cachaient souvent les plus belles cochonnes.

Elle lui avoua le plaisir qu’une femme pouvait ressentir à être ainsi entourée de plusieurs hommes et à se faire prendre de cette manière. C’était d’autant plus vrai pour les femmes timides ou dont l’éducation les empêchait de se livrer pleinement. Mais lorsque les murs craquaient, c’était un peu comme si un barrage cédait : rien ne pouvait plus empêcher l’eau de se déverser… Les femmes étaient selon elle ainsi faites.

Tout en disant cela, Sandrine n’avait cessé de le fixer dans les yeux. Elle lui dit que, quelque part, elle se reconnaissait dans la description que Jean avait faite de sa femme et ...

... surtout de ce qu’il l’avait vue faire. Et d’ajouter, qu’en plus, sa femme avait dû y prendre beaucoup de plaisir notamment le plaisir anal.

Jean n’en croyait pas ses oreilles. Mais alors que de tels propos l’auraient choqué si sa femme les avait prononcés, il les trouva très intéressants voire même excitants dans la bouche de Sandrine. Leur discussion prit alors un tour nettement plus coquin. Elle lui avoua par exemple avoir découvert la joie de se faire « enculer » grâce à un collègue lors d’un séminaire. Elle lui dit combien cette pratique qui lui faisait alors peur, était bonne et qu’elle ne pouvait plus s’en passer.

À la question de ce qui l’avait décidée à franchir le pas, Sandrine répondit à Jean que son collègue l’avait séduite : elle aurait tenté n’importe quoi pour lui à ce moment-là. Il avait su lui montrer que cette pratique pouvait être faite avec douceur. Elle avoua aussi très naturellement que son côté femme soumise était tel que, d’elle-même, elle n’aurait jamais osé faire le premier pas ni même d’ailleurs le demander à son mari. C’était sans doute le cas d’Odile pour ce qu’avait pu voir Jean en tout cas.

La discussion continua encore plusieurs dizaines de minutes, discussion menée par Sandrine qui ne tarissait pas de questions plus indiscrètes les unes que les autres. Elle lui demanda ainsi ouvertement ses préférences en matière sexuelle, s’attarda longuement sur ses propres préférences et ses fantasmes. Il apprit ainsi qu’elle adorait être sodomisée en ...