Une découverte inattendue - Histoires de Sexe

Une découverte inattendue

Jean est un jeune homme de 32 ans. Il est marié à Odile, mignonne brunette du même âge. Ils forment un parfait petit couple et s’entendent à merveille. Jean et Odile se sont connus lors de leurs études alors qu’ils avaient à faire des recherches en commun à la bibliothèque universitaire. Ce fut l’amour fou immédiatement, le coup de foudre, ils restèrent ensemble… Cela faisait maintenant 12 ans.Odile donne l’image d’une femme peu sûre d’elle-même, peu sûre de ses compétences intellectuelles aussi bien que de son physique. Elle a pourtant tout pour plaire : du haut de son 1, 67 m’et de ses 61 kg, Odile a des formes très plantureuses. Son imposante poitrine notamment (95E) est systématiquement cachée dans de larges chemisiers ou d’amples pull-overs. Elle a de superbes yeux verts et de belles jambes bien dessinées surplombées par un postérieur cambré et rond. La timidité d’Odile se retrouve également dans l’intimité de son couple où, le plus souvent, c’est Jean qui prend les initiatives, Odile ne se débridant que très progressivement et de manière toujours très limitée.Jean quant à lui est beaucoup plus à l’aise et spontané, 1, 88 mm pour 82 kg, cheveux bruns aux yeux marron, sportif. Sans être un top model, Jean dégage beaucoup de charme et de virilité. Il aurait pu, à plusieurs reprises déjà dans son travail ou dans son club de sport, céder aux tentations du sexe « faible » mais jamais, au grand dam de toutes ces femmes, il ne fit le moindre geste en leur direction.

Voilà ...

... donc pour les présentations…

Ce jour là, Jean rentrait d’un déplacement de plusieurs jours à l’étranger. Il avait pu se libérer plus tôt et allait pouvoir faire la surprise à son épouse. Cette dernière ne travaillait normalement pas le vendredi et serait sans doute très surprise de le voir débarquer comme ça, à l’improviste. Poussant la surprise encore plus loin, il lui passa un appel depuis son GSM afin de lui annoncer qu’il serait certainement un peu en retard pour son retour, retard dû à une réunion de dernière minute. Odile lui répondit, tout essoufflée, que ce n’était pas grave et qu’elle l’attendrait sagement devant la télé…

Pour ne pas éveiller les soupçons, Jean demanda à son taxi de le déposer à l’angle de la rue. Il fit une cinquantaine de mètres à pied et rentra par le portillon arrière de la maison. Curieux : les volets roulants étaient baissés à mi-hauteur et, en dépit du temps magnifique à l’extérieur, toutes les fenêtres étaient fermées.

Jean décida de passer par le sous-sol, une fois à l’intérieur il stoppa net son avancée. Avait-il rêvé ou avait-il réellement entendu un râle… non pas un râle de souffrance, mais un râle de jouissance, de plaisir… ? Ce qui ne faisait aucun doute c’était d’où il venait – du salon – et surtout qui avait râlé ainsi : c’était Odile.

Mais déjà le râle reprenait, identique, un peu plus étouffé peut-être. Jean laissa sa valise et sa veste dans le sous-sol et monta, tel un félin, les escaliers. La porte du sous-sol était ...