1. L'orgasme interstellaire


    Datte: 02/08/2021, Catégories: fh, couple, bizarre, amour, 69, pénétratio, pastiche, délire, Humour sf, totalsexe, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... bonne machine : Tina tient avec délice les quatre-vingt coups de reins à la minute. Et encore, je ne compte pas les plaisirs auxiliaires que sont ses mains enveloppant mes joues quand elle se régale de ma langue à pleine bouche pendant qu’elle s’empale sur moi, comme maintenant, à rythme soutenu. Mais j’ai un doute, quand même : c’est elle qui règle la cadence, et je crains un peu la surchauffe.
    
    Sa main entraînant mes doigts vers son anus m’invitent clairement à changer nos fréquences radio, pour passer en bande X, version cryptée Canal+. Je crains pendant quelques instants un dérapage incontrôlé vers Anal plus. Mais non : mes caresses circulaires sur ses fesses rebondies lui suffisent. J’insiste juste un peu, en la stimulant tout au creux de sa raie : je glisse ma main entre son petit orifice fripé et si sensible qui palpite légèrement sous mes doigts, jusqu’à la naissance de ses fesses que je masse doucement. Elle se cambre comme une chatte pour me laisser faire. Son sourire est-il un message codé pour me dire qu’elle aime ça ?
    
    J’entends maintenant dans mon oreillette interne la voix synthétisée de mon ordinateur de bord hypothalamique qui égrène ses conseils :
    
    — Vas-y. C’est bon, çà. Embrasse-la. Temps estimé avant orgasme : deux cent soixante dix secondes. Mollit pas. Quelle marrade. C’est cool.
    
    J’ai l’impression qu’on m’a greffé un GPS de Peugeot, tout à coup. Cet instant presque calme n’était dû qu’au temps mort qui marque le largage de l’étage moteur de ...
    ... sortie des couches denses de l’atmosphère. Le vacarme des boulons explosifs qui libèrent les fantasmes de Tina déclenchent l’allumage du second étage.
    
    Alors qu’on aborde la stratosphère dans des roulements de têtes affolés, ma transpiration peine à me refroidir. Et dans cette zone où normalement il faut réduire la consommation de carburant pour tenir la distance, Tina pousse la postcombustion en s’agrippant les seins à pleines mains. Sa tuyère en feu brûle délicieusement la peau de ma lance à incendie masculine. Et quand je dis : brûle, c’est plutôt ébouillante, vu l’ambiance d’huile chaude de sa chambre de combustion où elle me fait coulisser à sa guise et pour mon plus grand plaisir. Je regrette seulement de ne pas pouvoir exercer sur elle mes dons de mangeur de clito. Comme quand nous utilisons le couplage co-inversé génito-buccal (le 69, quoi…) Sans compter qu’elle va trop vite : elle hurle des ordres, s’accroche à mon manche, affole les commandes ! Mais soudain, le pilote automatique clignote :« G-point overflow ». Je passe en manuel : un doigt sur le clito et une main sur sa nuque. Les cris de plaisir décuplé qu’elle pousse immédiatement m’arrachent les oreilles : c’est pas la bonne manœuvre ! Vexé, je rugis :
    
    — Putains de rosbifs !! Z’auraient pas pu le mettre en français, ce message d’alarme :« Tu en as déjà trop fait, crétin… » ?
    
    Toute sa superbe-structure tremble et me secoue. Elle va exploser ! Déjà des fuites entre ses cuisses annoncent qu’elle ne va plus ...