1. L'orgasme interstellaire


    Datte: 02/08/2021, Catégories: fh, couple, bizarre, amour, 69, pénétratio, pastiche, délire, Humour sf, totalsexe, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... commencée toute seule ! Elle ne prend pas le temps de me répondre et dégage le rectangle 140 X 200 de notre aire de lancement en faisant tout voler aux quatre coins de la chambre : les oreillers, la couette, mon T-shirt, son absence de culotte et la lampe de chevet. Tout y passe !
    
    Il ne reste sur elle que sa petite toison noire (qui décore mieux qu’un string le renflement adorable de son pubis), le rouge brique de ses mamelons (qui donne du relief à ses petits seins trop mignons), le satiné de ses lèvres et les reflets appétissants du bronzage de ses fesses toutes rondes. Quant à moi, il ne me reste au bas du ventre que mon tuyau de raccordement aux dimensions pour l’instant inutiles.
    
    Je crains une procédure de décollage d’urgence, vu la façon dont elle m’aguiche en remuant son arrière-train d’atterrissage. Elle en connaît les effets bandogènes sur moi et elle en abuse souvent. Elle ne s’embarrasse pas des procédures d’approche et m’arrime à elle d’un seul coup de reins, sans autorisation préalable de connexion de nos sexes. Ou si peu : juste la signature d’un regard torride au bas de mon ventre, avant de me régler au calibre standard d’une petite érection qu’elle me monte en trois coups de pompe à bouche et deux tours de poignet.
    
    Puis elle m’enfourche pour prendre sur moi la position du lanceur spatial "lotus", celle qui tire le plus loin pour nous deux. Elle arme son regard en visée tête haute et m’observe intensément, en me tenant à deux mains par le cou. Comme ...
    ... pour vérifier mes jauges à plaisir, pendant que moi, je fais une rapide check-list : hanches OK, seins OK, baisers… Je n’ai pas le temps de finir que déjà elle me défonce les reins ! Je tente de rattraper mon retard en agrippant ses fesses à pleines mains. Mais il me faut toute la force de mes deux bras pour parvenir à accrocher en boucle le rythme méca-nique de ses mouvements pelviens.
    
    Le regard excité, qu’elle plante dans mes prunelles jusqu’au fond de mon crâne, montre sans équivoque qu’elle veut relier mes centres nerveux du désir et le fond de son ventre où bouillonne déjà son plaisir. J’ai l’impression d’entendre les arcs électriques qui parcourent cette ligne directe. Et la pression de mes pompes à dopamines, l’hormone du plaisir que sécrète le cerveau, ne va pas tarder à faire péter mes neurones, si je n’ordonne pas immédiatement le décollage en squeezant les préliminaires.
    
    Je suis en zone rouge. Je risque de faire bouillir l’hydrogène liquide que brûlent les propulseurs surpuissants des orgasmes de Tina. L’étincelle de mon doigt dans sa bouche suffit à démarrer la combustion des moteurs. L’oxygène me manque, je halète comme un compresseur pour tenir le rythme.
    
    Le grondement d’Ariane 5 fait vibrer notre lit de toutes ses membrures. Va-t-il tenir jusqu’à la mise en orbite ou bien céder sous les coups de ma bite ? L’aiguille de mon déliromètre monte aussi vite que Tina prend de l’altitude : elle est bien la seule fusée à piston de toute la galaxie. Mais c’est une ...