1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (3)


    Datte: 28/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... !
    
    — Tu te souviens comment tout a commencé, ici même ? Tu te souviens comment je te dévorais des yeux, comment ton corps s’est raidi quand je t’ai approché ? Ne me dis pas que tu n’as pas aimé
    
    — Arrête ça tout de suite !
    
    — Et si tu es descendue ce soir dans cette cuisine, c’est parce que tu savais que j’étais là à t’attendre et te désirer alors que tu t’ennuyais dans ton lit à coté de ton mari qui roupille
    
    — Tu te trompes ! Je suis descendue pour tout…
    
    J’interromps ma phrase car il s’approche de moi, je recule jusqu’à ce que mon dos heurte le mur. Il est à présent à quelques centimètres.
    
    — Je t’en prie Jordan…
    
    Pour seule réponse je vois sa tête avancer vers moi, légèrement inclinée, et soudain sa bouche entrouverte entre en contact avec ma nuque. Son baiser est chaud, suave, intense. Un frisson me gagne, je ne distingue plus rien de ce qui est bien ou mal. Je le laisse prendre possession de mon corps et par-dessus tout de mon âme, que j’ai complètement vendue au diable…
    
    Sa main s’empare de mon poignet et le dirige avec fermeté vers le sol. Incapable de résister, je me laisse entrainer, posant un genou à terre, puis le second. Sa main qui a relâché mon poignet s’agrippe à ma chevelure et immobilise ma tête. Je devine à présent ce qu’il attend de moi et malgré mon désarroi et le peu d’entrain que j’ai pour ce type de pratique, je me surprends à désirer qu’il me présente son membre au plus vite.
    
    Pas nécessaire d’attendre très longtemps ! En quelques ...
    ... secondes il a défait son pantalon, baissé son boxer et sorti son sexe avec habileté. Je vois sa forme ombragée se rapprocher de mon visage, droite, fière, érigée avec fermeté. Puis sa main l’incline quasiment à l’horizontale et avec vigueur il l’a dirige vers ma bouche, obligeant mes lèvres à s’ouvrir largement pour la faire entrer. Et pas qu’un peu. Il enfonce son dard épais jusqu’à l’entrée de ma gorge, son pubis s’écrasant sur mon nez. Un haut le cœur, mon estomac se tort. Il se retire avec une extrême lenteur, ressort de ma bouche, caresse mes lèvres de son gland boursouflé, et il recommence dans un râle profond. A nouveau ma gorge, à nouveau son pubis qui écrase ma face, à nouveau il se retire lentement.
    
    Mais il ne sort pas cette fois, il reste au bord de mes lèvres. Sa main relâche ma chevelure, je me sens moins prisonnière, sentiment de courte durée. Il appose à présent ses deux mains derrière ma tête, me tenant fermement par l’arrière du crâne. Et tout à coup dans une fureur animale il enchaine les va et vient dans ma bouche, il martèle ma cavité de toute sa fougue juvénile, de tout son gros membre d’homme viril. Dix, vingt, trente fois sa queue parcourt la distance entre le fond de ma bouche et mes lèvres à la vitesse qu’imprime ses hanches et son bassin, une vitesse folle, échevelée. Je ne respire quasiment plus, ma salive sort par jets par les minces interstices laissés entrouverts entre mes lèvres et son gros manche.
    
    Il lâche ma tête et prend appui sur le mur ...