1. Même pas de constat


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, nympho, contrainte, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... m’insulter en tapant des poings sur ma carrosserie. Sandrine était pétrifiée à côté de moi, me priant de ne surtout pas descendre. Il ne faisait aucun doute que si j’ouvrais ma porte, ils allaient me rouer de coups. J’ai gardé mon calme et ouvert ma porte tout en m’excusant. Ça a semblé les calmer un peu. Le conducteur était juste en face de moi, son acolyte se maintenant debout à l’avant de ma voiture. Je me suis dit qu’ils avaient peut-être seulement eu peur que je prenne la poudre d’escampette.
    
    L’accalmie a été de courte durée. Le conducteur s’est avancé vers moi, me poussant au niveau de l’épaule, à la limite de me déséquilibrer. Je ne suis pas bagarreur, mais douze ans de judo et cinq de jiu-jitsu ça aide à se sentir en relative sécurité, et je pouvais tout à fait l’immobiliser si je le souhaitais. Mais il m’a semblé qu’on pouvait ne pas en venir là, qu’ils seraient peut-être raisonnables.
    
    J’ai proposé de faire un constat, renouvelant mes excuses, mais le type s’est à nouveau emporté. J’ai vaguement compris qu’ils rentraient d’un chantier de nuit, qu’ils étaient crevés et avaient autre chose à faire que de faire un constat, que leur patron leur prenait des sous s’ils ne ramenaient pas le matériel intact, que je n’étais qu’un connard de bourgeois, que tout était de ma faute, qu’ils allaient me massacrer… Et j’en passe. Ma femme a eu peur pour moi et s’est mise à hurler. Elle a sorti son téléphone portable, criant qu’elle allait appeler la police.
    
    Alors que je ...
    ... parlais à ma femme pour la calmer, le conducteur m’a pris un bras pour me le tordre dans le dos, hurlant à ma femme l’ordre de poser son téléphone au sol. Dans le même temps son compère s’est engouffré dans la voiture pour en sortir Sandrine en la tirant par les cheveux.
    
    — Calmez-vous, calmez-vous, disait-elle, tremblante et apeurée.
    
    La situation était devenue critique. Ils devaient avoir un peu bu, et leur état d’excitation mentale les rendait visiblement étanches à toute forme de négociation. Je commençai à calculer mentalement le temps qu’il me faudrait pour me débarrasser du conducteur et me jeter sur le passager avant qu’il n’ait eu le temps de faire du mal à ma femme, mais ça semblait juste et dangereux pour elle.
    
    Le passager tient toujours Sandrine par les cheveux, collée contre la carrosserie et me regarde avec un air arrogant. Il parle avec fort accent des pays de l’est. Peut-être un Polonais. Toujours est-il que le gars est assez baraqué, plutôt grand, et surtout visiblement violent.
    
    — Tu vas payer les dégâts connard, me dit celui que j’appellerai le blond.
    — Oui, je vais vous payer tout de suite pas de problème mais il faudrait me lâcher.
    — C’est ça, on va te lâcher et tu vas essayer de te barrer, pas question.
    — Alors on fait comment ? Mon portefeuille est dans le vide-poches central de la voiture, servez-vous, mais lâchez ma femme
    
    Le blond force Sandrine à poser son buste sur le capot, lui intimant l’ordre de ne pas bouger, et se plonge dans ...
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