1. Sous les glaces d'Encelade


    Datte: 25/07/2021, Catégories: f, h, fh, ff, grp, asie, Collègues / Travail voyage, Masturbation Partouze / Groupe journal, sf, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... m’envole, à cause de l’impesanteur. Je me suis laissé faire, curieuse de ce qu’il allait m’arriver. Mes chevilles se sont retrouvées liées de telle manière que mes cuisses restaient largement écartées. Cassandra a généreusement arrosé ses doigts de lubrifiant, puis glissé son index et son majeur réunis dans mon vagin, en actionnant le vibromasseur de l’autre main à l’endroit qui procure du plaisir.
    
    Des vagues de volupté jusque-là inconnues se sont succédé, de plus en plus hautes. Je suis restée fixée par des liens, mais si je me suis envolée, c’est sexuellement. Je n’ai pas pu m’empêcher de crier. John et Charles-Édouard sont accourus, craignant tout d’abord un problème, puis ont assisté à la scène. Me donner ainsi en spectacle devant les hommes de mon équipage aurait normalement dû me procurer de la honte ; au contraire, j’ai ressenti une étrange excitation. Au début, j’essayais de jouir avec une certaine retenue, cherchant à garder un minimum de contrôle sur moi-même. Mais rapidement, cela s’est avéré impossible. J’ai cru devenir folle. C’était comme si les milliers d’orgasmes dont j’avais été privée en trente ans sortaient de moi en une seule fois.
    
    Puis Cassandra m’a offert un cunnilinctus – c’était lent, doux et absolument divin – et a présenté sa petite chatte humide devant mes lèvres pour que je fasse la même chose. Elle volait au-dessus de mon corps, tout contre moi, en se positionnant au millimètre près, comme en lévitation. Au début, je ne savais pas m’y ...
    ... prendre. Elle m’a montré, en écartant entre ses doigts ses petites lèvres papillon, car elle avait envie que je lèche aussi l’entrée de son vagin à l’intérieur duquel entrait ma langue. J’ai beaucoup aimé son odeur intime. Il me semble la sentir encore. En jouissant, elle a eu une impressionnante éjaculation féminine. Je ne savais pas qu’on pouvait répandre autant de mouille qui est allée, comme tout liquide non enfermé, s’agglomérer en une sphère qui se promenait au gré des mouvements de l’air. J’en ai avalé une partie. C’était bon, j’avais soif et j’en voulais encore, alors nous avons recommencé.
    
    Pendant ce temps, les hommes bandaient, bien sûr. Ils n’attendaient que ma permission pour venir me prendre. Dès que je leur ai dit « venez », ils se sont jetés sur moi : des tigres affamés. John m’a pénétrée tandis que Charles-Édouard a voulu une fellation. Ils ont déchargé presque en même temps. J’ai avalé la semence, car j’avais encore soif. Se restreindre sur la quantité d’eau provoque de tels désirs.
    
    Ensuite, ils m’ont détachée pour me lier à nouveau, mais sur le ventre, les cuisses toujours écartées et les fesses relevées. Ils m’ont sodomisée, chacun leur tour, en s’agrippant fermement à mes globes charnus. J’ai découvert que j’aime bien avoir la petite rosette anale distendue par le phallus, surtout au moment où celui-ci entre et sort, lentement et bien lubrifié. C’est à cet endroit-là, pour eux serré à souhait, qu’ils ont l’un et l’autre abandonné leur semence en poussant ...
«12...141516...21»